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{$PUBLISHER} - Inria dévoile son Livre blanc sur les Véhicules Autonomes et Connectés

Après la publication d'un premier livre blanc consacré à l'Intelligence Artificielle, Inria dévoile un second ouvrage dédié cette fois aux Véhicules autonomes et connectés. Inria fait le point et soulève l'ensemble des problématiques liées aux grandes avancées et innovations dans ce domaine. Quels défis technologiques et scientifiques ? Quels enjeux économiques, sociaux et environnementaux ? Quels impacts légaux et éthiques ? Un texte de référence qui mesure, questionne et anticipe.

« Complémentaire de la stratégie nationale qui vient d'être présentée hier par Anne-Marie Idrac, haute responsable pour le développement du véhicule autonome, ce livre blanc illustre l'importance de la recherche scientifique pour progresser notamment dans les défis logiciels, de la cybersécurité, des interfaces Humain machine, de la modélisation et la simulation et de l'intelligence artificielle. Il s'agit en effet d'un sujet très complexe, tout d'abord parce qu'il ne définit pas une problématique unique mais qu'il englobe un ensemble de questions de nature différente, tant technologiques que scientifiques. Ensuite, parce que les évolutions futures ne s'obtiendront pas en raffinant les techniques et les procédés actuels mais bien en inventant de nouveaux concepts et de nouveaux modèles tant pour la conception, la fabrication que l'exploitation du véhicule », explique Peter Sturm, adjoint au directeur scientifique d'Inria, en charge du domaine de recherche Perception, cognition, interaction.

Véhicules autonomes : un virage révolutionnaire
Le monde de la mobilité est en profonde mutation. Le déploiement du véhicule autonome va non seulement transformer nos modes de transports, mais surtout avoir un impact sur l'évolution de la société - en termes de sécurité, d'environnement, d'urbanisme... – et sur l'industrie automobile elle-même, avec de nouveaux véhicules dans lesquels l'intelligence artificielle jouera un rôle déterminant. Pour mieux appréhender ce bouleversement, il est nécessaire de comprendre ce qui fait la spécificité du véhicule autonome et connecté, les prouesses technologiques que les acteurs du secteur doivent réaliser ainsi que le développement de collaborations entre recherche publique et privée. Inria est impliqué dans ce sujet depuis de très nombreuses années, avec des équipes de chercheurs et chercheuses issues de différents domaines scientifiques. De nombreux axes de recherche sont en effet concernés : modélisation mathématique, techniques robotiques, interfaces Humain-machine, technologies de télécommunication, réseaux, cybersécurité, apprentissage automatique, aide à la décision, raisonnement dans l'incertain… Autant de thématiques de recherche qui sont évoquées tout au long du livre blanc d'Inria.

Quatre questions stratégiques sur le véhicule autonome et connecté
Pour tous les industriels, l'évolution vers le véhicule autonome semble inéluctable. Mais son déploiement à grande échelle ne sera possible qu'à la condition de trouver des réponses à quatre questions stratégiques, aujourd'hui non résolues, posées et développées par Inria dans son livre blanc :
    - Comment assurer la sécurité des systèmes et des communications fiables ?
    - Un véhicule autonome peut-il comprendre son environnement ?
    - Un pilote automatique peut-il être intelligent ?
    - Comment valider un système aussi complexe ?

De multiples défis technologiques et scientifiques
La conception et le développement de véhicules autonomes et connectés posent de formidables défis technologiques et scientifiques, notamment :
La navigation autonome
Pour qu'un véhicule puisse naviguer de manière autonome, sans pilote, il faut qu'il sache percevoir son environnement, analyser et interpréter les données qu'il reçoit et enfin prendre des décisions. Les défis en lien avec la perception multisensorielle (capteurs, interprétation de la scène) et l'autonomie décisionnelle (planification d'itinéraires, de manoeuvres, des trajectoires, et interactions véhicules-usagers) sont donc majeurs. Les méthodes de contrôle-commande de haut niveau sont également au coeur de la réflexion, afin que le véhicule puisse assurer de manière optimale sa stabilité, le confort des passagers (avec des contraintes sur les accélérations longitudinales et latérales), l'évitement ou le rattrapage des glissements et le contrôle du patinage.
L'intégration des logiciels et la sûreté de fonctionnement
L'intégration des logiciels à bord d'un véhicule hautement automatisé est donc un enjeu majeur. Un important effort de recherche est encore nécessaire sur plusieurs points, tels que : la conception d'architectures embarquées, les preuves formelles des programmes, l'optimisation matérielle et logicielle, la résilience, la tolérance aux fautes, la gestion des incertitudes, et la sécurité des systèmes informatiques et physiques.
Les télécommunications et la cybersécurité
Le déploiement des véhicules autonomes et connectés ne pourra se faire sans une profonde adaptation et sécurisation des réseaux de télécommunications. L'explosion du nombre d'agents communicants aura un fort impact sur l'occupation des canaux de communication, aujourd'hui déjà largement saturés. La sécurité routière exige un échange d'informations hautement réactif et fiable entre véhicules voisins, dans n'importe quelle condition de densité de circulation. Le défi est donc de concevoir des moyens de communications sans fil fiables dans des scénarios présentant de fortes densités. Les problématiques de vulnérabilité aux attaques externes, ainsi que d'intégrité et de confidentialité des informations qui circulent sur les réseaux sont plus que jamais cruciales. C'est pourquoi la cybersécurité devient une priorité pour les industriels du transport. Des moyens de protection existent déjà, mais le défi est maintenant de les intégrer au processus de développement des véhicules.
Le Big Data
Les systèmes vont produire d'énormes quantités de données de différents types : un véhicule autonome connecté pourrait produire jusqu'à 1 Go de données par seconde. Sur la base d'un déploiement attendu de centaines de milliers de véhicules connectés, toutes ces données devront être stockées, gérées, et traitées de manière automatique par des centres de traitement, des opérateurs, et des utilisateurs. Les modalités de stockage et de traitement de ces masses de données sont encore à définir et représentent un réel défi, tant sur le plan économique que technologique.
La simulation
La validation par simulation numérique est un défi particulièrement complexe. Même si chaque sous-système pourrait individuellement être ainsi validé, comment valider la complexité du système intégré, en utilisation réelle sur la route ? Il faudrait simuler le fonctionnement de toutes les briques technologiques simultanément, mais aussi la complexité des scènes routières, les comportements des autres conducteurs, tout en prenant en compte le fonctionnement simultané d'un grand nombre de véhicules autonomes. Il n'existe aujourd'hui aucun simulateur adapté à toutes les fonctionnalités du véhicule autonome et connecté.
La modélisation des grands systèmes : trafic routier et gestion de flottes
Avec un grand nombre de véhicules connectés qui sillonnent les routes et les rues, la modélisation du trafic va pouvoir s'enrichir des données collectées par les véhicules jouant le rôle de capteurs en mouvement. La modélisation a aussi un rôle important à jouer dans la gestion de flottes, par exemple d'un ensemble de véhicules partagés, où l'un des principaux problèmes est la réallocation des véhicules sur un réseau urbain de plus en plus dense et dynamique.
Les interfaces Humain-machine
Avec les nouvelles fonctions intégrées à bord des véhicules, mais aussi le changement des modalités de conduite, des interfaces Humain-machine spécifiques doivent être conçues pour les véhicules autonomes et connectés. Elles seront dédiées aux occupants du véhicule, mais aussi aux autres usagers de la route avec lesquels des interactions seront désormais nécessaires. Les équipes qui travailleront sur le sujet devront en particulier étudier un point clé : l'arbitrage entre le pilotage automatique et le pilotage par le conducteur, en fonction des contextes et des situations.

OPTIS a développé une plate-forme de réalité et de simulation virtuelles photoréaliste qui permet de concevoir plus rapidement ce type de véhicule. En associant cette plate-forme aux solutions d'ANSYS, les constructeurs automobiles pourront simuler l'environnement d'un véhicule sans conducteur, notamment l'état de la route, les conditions météorologiques et les rues à sens unique. Les solutions de simulation globale d'ANSYS serviront à tester ces véhicules autonomes virtuels dans un environnement réaliste. En utilisant des modèles précis pour reproduire un trafic automobile réel, il sera possible de leur faire parcourir des millions de kilomètres en une seule journée.

Un impact sociétal, légal et éthique
Le véhicule autonome et connecté ne sera pas seulement un système d'une grande complexité technologique, son déploiement à grande échelle induira des changements profonds dans le fonctionnement de la société, qui toucheront l'organisation des villes, les usages des transports, la responsabilité civile des industriels et des opérateurs de la mobilité. L'arrivée de véhicules autonomes soulève ainsi de nombreuses questions légales et éthiques.

Le véhicule autonome et connecté en France, c'est pour quand ?
Dans son livre blanc, Inria répond également à la question du calendrier, très souvent posée. « Les premiers systèmes de transport automatisés, sur des sites privés ou d'accès contrôlé, devraient apparaître à partir de 2025. A cette période, des véhicules autonomes devraient aussi commencer à rouler sur autoroute, à condition que les infrastructures aient été adaptées (par exemple sur des voies réservées à cet usage). Ce n'est qu'à partir de 2040 que l'on devrait voir des voitures complètement autonomes (aucune intervention de l'être humain), dans des zones péri-urbaines, et en test dans des villes », révèle Fawzi Nashashibi, Responsable de l'équipe-projet RITS, Inria. « Mais la maturité des technologies n'est pas le seul verrou au déploiement de ces véhicules, qui dépendra largement de décisions politiques (investissements, réglementations...) et des stratégies d'aménagement du territoire » poursuit-il.

Source : http://www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - Ansys leader de la simulation pour les véhicule autonomes

La solution complète proposée par ANSYS permettra d'améliorer la sécurité et de réduire le délai de commercialisation de ces véhicules.

PITTSBURGH, le 3 mai 2018 – Ayant achevé aujourd'hui l'acquisition d'OPTIS, numéro un de la simulation optique, ANSYS (NASDAQ : ANSS) propose désormais la solution la plus complète du marché pour simuler un véhicule autonome. En intégrant les simulateurs de capteurs optiques et les logiciels de simulation virtuelle développés par OPTIS à ses solutions multiphysiques, ANSYS commercialise une très large gamme d'outils pour contrôler la sécurité et la fiabilité des véhicules sans conducteur. Ses clients peuvent ainsi réduire les essais sur route - qui représentent encore des milliards de kilomètres – et par conséquent le délai de commercialisation de ces véhicules.

OPTIS est le principal éditeur de logiciels de simulation physique de la lumière et de la vision humaine. Grâce à l'acquisition de cette société, les solutions d'ANSYS englobent aujourd'hui la simulation des caméras, des composants électroniques et de tous les détecteurs, y compris les lidars et les radars, l'analyse de la sécurité de fonctionnement des systèmes et le développement automatisé de logiciels embarqués certifiés. Ces logiciels peuvent être testés dans un environnement de simulation virtuelle qui intègre les conditions météorologiques, l'état de la route, et le trafic routier. Des milliers de scénarios de conduite peuvent ainsi être répétés virtuellement.

Des analystes annoncent que les véhicules autonomes vont entraîner une croissance de l'économie mondiale de 7 000 milliards de dollars. Les conséquences sur la vie humaine seront encore plus importantes : ces véhicules devraient permettre de réduire très fortement le nombre d'accidents de la circulation et donc sauver la vie de plus de 600 000 personnes chaque année. Avant que les véhicules autonomes puissent massivement prendre l'autoroute, il faut cependant montrer qu'ils sont sûrs en effectuant des essais rigoureux dans des environnements de conduite complexes et procéder à des essais sur route sur des milliards de kilomètres. L'acquisition d'OPTIS permet à ANSYS de proposer une solution plus rapide, plus sûre et moins coûteuse que les essais physiques.

« Plus de 90 % des accidents sont dus à une erreur humaine et les véhicules autonomes permettraient de les éviter pratiquement tous », déclare Éric Bantegnie, vice-président et directeur général d'ANSYS Systems Business Unit. « En proposant les outils de simulation multidisciplinaires les plus précis et les plus complets du marché, basés notamment sur les logiciels développés par OPTIS, ANSYS, contribuera à commercialiser plus rapidement des véhicules sans conducteur fiables et sûrs et donc à réduire le nombre d'accidents et de décès. »

« Dans la course à la conception de véhicules autonomes sûrs, il faut impérativement disposer d'une solution complète pour les détecteurs », explique Jacques Delacour, PDG d'OPTIS. « Faire partie d'ANSYS nous permet d'intégrer les meilleurs simulateurs de radar, de lidar et de caméra du marché dans un seul outil. Ensemble, nous contribuerons à accélérer notablement la conception des véhicules autonomes. »

OPTIS a développé une plate-forme de réalité et de simulation virtuelles photoréaliste qui permet de concevoir plus rapidement ce type de véhicule. En associant cette plate-forme aux solutions d'ANSYS, les constructeurs automobiles pourront simuler l'environnement d'un véhicule sans conducteur, notamment l'état de la route, les conditions météorologiques et les rues à sens unique. Les solutions de simulation globale d'ANSYS serviront à tester ces véhicules autonomes virtuels dans un environnement réaliste. En utilisant des modèles précis pour reproduire un trafic automobile réel, il sera possible de leur faire parcourir des millions de kilomètres en une seule journée.

En parallèle du domaine des véhicules autonomes, l'acquisition d'OPTIS renforce la position d'ANSYS sur le marché mondial de la simulation. L'intégration d'outils de vision aux solutions existantes devrait permettre à ANSYS de transformer radicalement son offre.

« L'association de l'analyse multiphysique proposée par ANSYS et des possibilités offertes par OPTIS dans le domaine optique permettra de créer les futurs produits d'eLumigen », annonce Mahendra Dassanayake, directeur scientifique d'eLumigen. « Notre société étant déjà cliente d'ANSYS et d'OPTIS, l'opération stimulera l'innovation et nous permettra de relancer la concurrence. »

Source : http://www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - ZF lance un enrouleur

Volvo Cars, le constructeur automobile premium, et Volvo Trucks, premier constructeur de poids lourds au monde, s'apprêtent à partager des données en temps réel pour étendre la couverture des technologies de sécurité connectées des deux entreprises, un système dans le Cloud qui permet aux véhicules de communiquer les uns avec les autres et d'alerter les conducteurs des dangers situés en amont de leur itinéraire.

C'est la première fois que Volvo Cars partage des données liées à la sécurité avec une autre société. Cette collaboration avec Volvo Trucks marque une première étape vers une masse critique de véhicules connectés susceptible d'avoir un impact significatif sur la sécurité routière en général.

À compter de 2018, des données en temps réel anonymisées seront partagées entre les voitures Volvo dotées de l'Alerte feux de détresse de Volvo Cars et certains poids lourds Volvo commercialisés en Suède et en Norvège et équipés de systèmes Volvo Trucks d'alerte en cas de danger.

Chez Volvo Cars, le partage de connaissances sur la sécurité avec d'autres entreprises en vue de sauver le plus de vies possible ne date pas d'hier. En 1959, déjà, Volvo ouvrit son brevet sur la ceinture de sécurité à trois points d'ancrage à d'autres constructeurs, une initiative qui a, depuis, permis de sauver environ un million de vies.

« Basé sur notre technologie de sécurité connectée, le partage de données sur la sécurité en temps réel contribue à éviter des accidents, affirme Malin Ekholm, Vice-Présidente du Centre de sécurité de Volvo Cars. Plus nos véhicules partageant des données sur la sécurité en temps réel seront nombreux, plus nos routes seront sûres. Nous nous réjouissons de collaborer avec de nouveaux partenaires qui partagent notre engagement en faveur de la sécurité routière »

La technologie d'alerte feux de détresse de Volvo Cars est la première en son genre dans l'industrie automobile. Dès qu'une Volvo équipée du système allume ses feux de détresse, une alerte est envoyée à toutes les Volvo circulant dans le secteur et connectées au service de Cloud, ce qui permet d'aider les conducteurs à éviter d'éventuels accidents. Ce système est particulièrement utile dans les angles morts et au sommet des côtes.

L'Alerte feux de détresse est disponible en Suède et en Norvège depuis 2016, où elle équipe en série tous les modèles des gammes 90 et 60, ainsi que le XC40. L'arrivée de la flotte de Volvo Trucks dans le Cloud permettra de couvrir une zone géographique plus vaste, d'identifier davantage de dangers potentiels et de renforcer la sécurité routière en général. Les deux marques Volvo représentent une part considérable des nouvelles immatriculations de véhicules dans la région.

« La sécurité connectée offre aux conducteurs de Volvo une vision presque « au-delà des murs » et permet d'éviter les situations critiques ou les accidents avant qu'ils ne se produisent, ajoute Malin Ekholm. Nous avons à cœur de partager cette capacité à anticiper et à éviter les dangers avec un maximum de conducteurs. »

En anonymisant, validant et agrégeant les données collectées et partagées, l'initiative se conformera à la réglementation générale sur la protection des données personnelles (RGPP) déployée cette année dans toute l'Union européenne.

Source : http://www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - Toyota Research Institute

Ce centre d'essais de 24 hectares permettra d'accélérer le développement du mode de conduite assistée Toyota Guardian.

Toyota Research Institute (TRI) va construire un circuit fermé destiné à la mise au point de ses technologies de conduite assistée et autonome. Les demandes de permis de construire ont été déposées en vue de transformer un terrain d'environ 24 hectares sur le site d'essais Michigan Technical Resource Park (MITRP) d'Ottawa Lake. Lorsqu'il deviendra opérationnel en octobre, le nouveau site servira exclusivement à TRI pour reproduire des scénarios de conduite « limites », trop risqués pour être testés sur la voie publique.

« En construisant notre propre circuit d'essais, nous pouvons l'adapter spécifiquement à nos besoins et avancer à grands pas, en particulier concernant les capacités du mode de conduite assistée Toyota Guardian », commente Ryan Eustice, vice-président de TRI en charge de la conduite automatisée. « Ce nouveau site nous donnera la liberté de personnaliser les scénarios d'essai afin de repousser les limites de nos technologies et de progresser dans la conception d'un véhicule conduit par un humain, mais incapable de provoquer un accident ».

Le centre d'essais de TRI sera construit à l'intérieur du périmètre de la piste d'essai du parc, un anneau de 2,8 km. Il intégrera des simulations d'embouteillages urbains, des revêtements glissants ainsi qu'un tronçon de route à quatre voies et séparateur central, doté de bretelles d'accès et de sortie à haute vitesse.

TRI, qui loue le terrain au MITRP, prend en charge les études, la construction et la maintenance future des installations. En outre, il aura accès à l'anneau ainsi qu'à d'autres installations et prestations sur place, mises à la disposition des clients par le parc. Ce nouveau centre renforcera les moyens d'essais en circuit fermé de TRI, en s'ajoutant aux partenariats déjà noués en Californie avec GoMentum Station (une ancienne base militaire) et, dans le Michigan, avec Mcity (une ville artificielle) et l'American Center for Mobility.

« Nous nous réjouissons de ce partenariat avec TRI », déclare Mike Jones, président du MITRP, « et nous sommes convaincus qu'il sera profitable aux deux parties. »

Le site sert de terrain d'essais automobiles depuis 1968, date de sa création par un équipementier. Ce parc technologique de 136 hectares a été revendu en 2010 à un entrepreneur privé, qui l'exploite désormais en le proposant à des constructeurs de voitures, d'utilitaires, de véhicules tout-terrain et à des équipementiers, afin d'y réaliser des essais et des développements techniques poussés.

Source : http://www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - ZF lance un enrouleur

Détroit, États-Unis. ZF équipe désormais la Jeep Wrangler d'un système de ceinture de sécurité SPR8 (Snake Pretensioner Retractor) nouvelle génération. Ce système innovant utilise un piston en plastique plutôt que des composants métalliques conventionnels pour transférer le couple de prétension au bobineau au travers de la barre de torsion. ZF fournit ainsi une conception plus simple, un boîtier plus compact et le système le plus léger de l'industrie.

Le SPR8 est une gamme modulaire d'enrouleurs satisfaisant tous les critères, depuis la technologie de base jusqu'au prétensionneur de ceinture ACR8 motorisé et réversible, associant sécurité active et passive pour pré-tendre la ceinture de sécurité avant une collision. ZF a d'abord lancé ce système avec Daimler sur la Mercedes Classe S en 2002 et apportera d'ici peu des améliorations à ce système.

Peter Lake, membre du Directoire chez ZF, Corporate Market, a déclaré : « Nous sommes heureux de lancer ce produit nouvelle génération sur l'emblématique Jeep Wrangler. Ce lancement sera bientôt suivi d'un autre lancement, cette fois-ci sur un modèle d'un constructeur européen avec la technologie ACR car nous déploierons cette nouvelle génération prometteuse à l'échelle mondiale. »

Fonctionnement du SPR8 : lorsque les capteurs du véhicule déclenchent le système de ceinture de sécurité, un micro générateur pyrotechnique est déclenché, produisant un gaz qui accroît la pression dans le tube de guidage. Cette pression pousse sur le piston en forme de serpentin en plastique. Ce dernier est énergiquement propulsé sur un pignon, contrairement à la technologie habituelle à base de billes d'acier. Le pignon transmet alors un couple important à l'enrouleur du prétensionneur afin de pré-tendre la ceinture de sécurité. L'ensemble du système pyrotechnique est scellé, ce qui signifie qu'aucun gaz ne s'échappe durant le processus de prétension, qui ne dure que dix millisecondes.

« Cette technologie unique, plus légère grâce aux matières plastiques, permet de réduire le poids total du système de plus de 20 % », a déclaré Norbert Kagerer, Vice-président dans la division Systèmes de Sécurité des Occupants chez ZF. « L'architecture du système offre une grande flexibilité dans la conception et intègre de nombreuses options telles que la limitation d'effort commutable, dégressive et avec une fonction Stop pour aider à gérer.

Source : http://www.auto-innovations.com

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AAE-EXPERTISE

Paris, le 1er décembre 2017 – SCOOP (pour « Système Coopératif ») est un projet pilote de déploiement en conditions réelles de circulation de la connectivité de demain entre véhicules (V2V) et entre véhicules et infrastructures (V2X). Ce projet est développé en partenariat avec différents acteurs en France : le ministère de la transition écologique et solidaire, les collectivités territoriales, les gestionnaires d'infrastructures, les universités et les centres de recherches et d'études scientifiques. Le Groupe Renault s'investit dans le projet SCOOP afin de tester de nouvelles technologies sur Renault Mégane. Ce projet permet également à ses clients flottes de se retrouver au cœur d'une expérimentation autour des véhicules connectés du futur.

« L'objectif prioritaire est de proposer à nos clients flottes des véhicules qui améliorent la sécurité sur les routes et de fluidifier la circulation : les voitures communiquent entre elles et s'alertent, en temps réel, en cas de dangers, de ralentissements et d'accidents. Les gestionnaires d'infrastructures tels que la SANEF(1) transmettent également aux véhicules équipés des informations sur les conditions de circulation, les chantiers, la vitesse autorisée, les accidents ou les obstacles dangereux sur la route.» précise Christine Tissot, chef du projet SCOOP au sein du Groupe Renault.

La flotte de Mégane équipées du protocole SCOOP utilise des technologies qui préparent les véhicules autonomes et connectés de demain : des capteurs et calculateurs recueillent et analysent de nombreuses informations telles que la vitesse du véhicule, l'angle du volant, le manque potentiel d'adhérence des pneus lié aux conditions climatiques, la mise en route de l'essuie-glace, le déclenchement des airbags, etc. Si un problème est détecté, le véhicule émet automatiquement un message d'alerte à partir de son boîtier embarqué vers les autres véhicules équipés de SCOOP et vers les unités fixes situées le long des routes. Ces unités informeront, à leur tour, les secours en cas d'incident important. Dans le cadre du pré-déploiement, ces unités fixes sont présentes sur 2 000 kilomètres de routes en Ile-de-France, le long de l'A4, en Isère et sur les rocades de Bordeaux ainsi qu'en Bretagne.

Initié en 2014, le projet européen SCOOP rentre activement dans sa phase de roulage grâce notamment à cette flotte de 1000 Renault Mégane produites à l'usine de Palencia en Espagne.

« Le Groupe Renault est actuellement en discussion avec plusieurs entreprises françaises pour l'intégration de Mégane équipées du système SCOOP au sein de leur flotte. Ces entreprises ont compris cette opportunité de responsabilité sociétale qui contribue à la sécurité routière de leurs employés. A travers le projet SCOOP, elles participent également à la préparation de l'écosystème des véhicules autonomes et connectés du futur » souligne Nadine Leclair, SVP, Directeur Expertise.

Le boitier embarqué, qui émet les messages d'alerte, utilise un protocole de communication haute performance par onde radio de type Wi Fi. Ce protocole utilise la dernière génération de technologies d'ITS(2) G5 avec une fréquence dédiée de 5,9 GHz. Il est adapté aux objets en mouvement et offre une portée allant jusqu'à 1000 mètres. Le protocole contrôle systématiquement l'authenticité des messages et agit avec réactivité, en temps réel, pour éviter les collisions. Il garantit également un usage anonyme des données traitées, conformément à la préservation de la vie privée de son utilisateur.

Source : http://www.auto-innovations.com

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Les projecteurs à LED MULTIBEAM haute résolution développés par Hella pour la nouvelle Mercedes-Benz Classe E relèvent encore la sécurité en trafic routier .

Hella ouvre de nouvelles dimensions en termes de technologie d'éclairage avec ses projecteurs à LED MULTIBEAM perfectionnés. Ceux-ci fonctionnent non plus avec 24, mais avec 84 LED hautes performances à pilotage individuel par projecteur, pour un éclairage automatique remarquablement lumineux et précis de la chaussée grâce à une répartition de la lumière d'une précision inégalée, sans éblouir les autres usagers de la route.

En 2016, Hella et Mercedes-Benz ont présenté sur la nouvelle Classe E les nouveaux projecteurs à LED MULTIBEAM avec modules crantés à LED haute précision permettant d'accroître la sécurité des trajets de nuit pour tous les usagers de la route. L'importance de cette innovation est soulignée par les statistiques : la nuit, les risques d'accident augmentent considérablement. Sur les routes secondaires, les accidents avec séquelles graves sont quasiment multipliés par cinq de nuit. Les trajets de nuit sur ce type de routes ne représentent que 20 % du trafic routier – mais 40 % des accidents mortels.

Une répartition ultra précise de la lumière :

Hella a développé pour la Classe E Nouvelle génération des blocs optiques qui fonctionnent désormais avec un module cranté à LED de précision haute résolution de conception nouvelle doté de 84 puces à LED hautes performances. Celui-ci réagit de manière encore plus dynamique et la chaussée est éclairée avec encore plus de précision. Chacune de ces LED peut être pilotée individuellement grâce à un dispositif électronique. Grâce à ce crantage, la répartition de la lumière des projecteurs gauche et droit peut être pilotée individuellement et s'adapter avec un dynamisme maximal au trafic. Les différentes zones de la chaussée sont ainsi éclairées de manière très ciblée.

Augmentation de la précision et de la brillance :

Il en va du nombre de pixels des projecteurs à LED comme de celui des écrans : plus les points pilotables individuellement sont nombreux, plus la résolution est élevée et plus l'image sera fine. Un grand nombre de pixels permet dans le même temps une représentation plus dynamique. Cette caractéristique augmente également la précision et la brillance perçues. Les 84 LED de chaque module de précision cranté aident les projecteurs à atteindre une résolution 3,5 fois supérieure. Les autres usagers de la route peuvent ainsi être protégés de l'éblouissement avec plus de précision tandis que l'auto-éblouissement est évité de manière plus efficace. Cette nouvelle dimension en terme de précision de la répartition de la lumière permet une durée d'utilisation encore plus élevée du mode feux de route partiel et apporte de nouveau un plus en termes de sécurité. Le conducteur profite en outre d'un meilleur éclairage de la chaussée.

Fascination en bleu :

Par rapport aux systèmes usuels sur le marché, les projecteurs à LED MULTIBEAM délivrent une puissance accrue de 2,5 maxi (en feux de route partiel). Les projecteurs Hella MULTIBEAM sont désormais immédiatement reconnaissables. Avec leurs surfaces d'éclairage passif bleues, ils surprennent et établissent de nouvelles références sur le plan visuel. Ces détails esthétiques encerclent les feux de jour et de position en forme de torches spécifiques à la Classe E et garantissent aussi une mise en scène sympathique au niveau des feux de croisement et des feux de route pour créer un ensemble fascinant.

LED tamisables en cas de pluie :

La répartition de la lumière haute résolution librement configurable permet pour la première fois la réalisation entièrement numérique et sans actionnement manuel de toutes les fonctions de l'Intelligent Light System en mode feux de croisement et feux de route. L'éclairage dynamique dans les virages est ainsi mis en oeuvre en première mondiale en version entièrement électronique. Cette avancée technologique permet l'intégration d'une multitude de nouvelles fonctions d'éclairage adaptatives augmentant à nouveau la sécurité du conducteur, mais aussi des autres usagers de la route lors des trajets de nuit. Le tout nouvel éclairage code réduit les réflexions sur la chaussée opposée en cas de pluie par une atténuation de l'intensité lumineuse des différentes LED et contribue activement à éviter l'éblouissement indirect des véhicules arrivant en sens inverse.

Occultation des autres véhicules :

Le plus en terme de sécurité de la technologie à LED MULTIBEAM est particulièrement perceptible en conditions réelles de circulation : contrairement aux systèmes de feux de route purement statiques avec des portées parfois élevées, l'éclairage à LED MULTIBEAM assiste également le conducteur LED lorsque d'autres véhicules se situent dans le faisceau des projecteurs. Dans la mesure où il les exclut de manière ciblée en quelques fractions de seconde du faisceau lumineux, le conducteur peut rouler en permanence en feux de route. Celui-ci dispose ainsi constamment de la meilleure performance d'éclairage possible sans éblouir les autres usagers de la route. La technologie à LED des projecteurs Hella MULTIBEAM offre de nombreux autres avantages : la luminosité des projecteurs à LED est par exemple très similaire à la clarté diurne, laquelle correspond au mieux aux habitudes visuelles de l'oeil humain. Car comme les études l'ont montré, la lumière artificielle fatigue d'autant moins l'oeil que sa température de couleur est proche de la lumière du jour. Avec une température de thermodynamique de 5 500 K, l'éclairage à LED est plus proche de la lumière du jour (6 500 K) que les feux au xénon (4 200 K). Avec un rendement lumens/watts élevé, les 84 diodes LED de forte puissance des projecteurs à LED MULTIBEAM contribuent en outre à accroître l'efficience et sont conçues pour une utilisation sur toute la durée de vie du véhicule.

source:http://www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - Reprogrammation des calculateurs : concrétisation des espoirs

Dans l’accès obligatoire aux données techniques, les réparateurs ont accès à la reprogrammation des calculateurs, du moins dans les lois et dans les normes appliquées par les constructeurs et issues des règles dictées par l’Europe. Mais jusqu’à présent, l’utilisation du “passthru” reste du domaine de la théorie car l’application est beaucoup plus complexe…

Le téléchargement des calculateurs n’est pas une opération simple. Il consiste à connecter l’électronique du véhicule avec les serveurs du constructeur pour mettre à jour des logiciels de fonctionnement d’un ou plusieurs calculateurs. Pour y parvenir, il ne suffit pas d’un appareil de »diagnostic » disposant de la connectivité à la norme SAE J2534 (dite »Passthru ») : il faut aussi accéder aux sites après-vente des constructeurs et remplir l’ensemble des pré-requis pour disposer d’un accès comme un réparateur agréé. C’est d’abord souvent le téléchargement d’un logiciel spécifique, qui est suivi d’une demande d’accréditation en répondant à des critères spécifiques à chaque constructeur. C’est seulement après cette étape que le réparateur peut acheter des temps d’accès aux bases et aux méthodes de téléchargement. Pour tous ces préliminaires, il peut y avoir des délais allant jusqu’à plusieurs semaines, et même l’achat d’une clé USB spécifique (un dongle) qui est livré par courrier !

Pourquoi reprogrammer ?

Depuis les années 2000, les calculateurs embarqués sur les véhicules pour la gestion moteur, pour les boîtes de vitesses, le freinage et bien d’autres fonctions ont des processeurs génériques, que le constructeur charge avec un logiciel qui est propre au modèle et à la version du véhicule. C’est plus souple en fabrication et surtout, cela permet les mises à jour en cas d’amélioration de cette gestion au fil du temps ; on a pu le constater durant la crise du »diesel gate »…

Les véhicules les plus évolués ont actuellement jusqu’à 80 voire 100 calculateurs et les mises à jour sont de plus en plus fréquentes. Or, ces programmations qui sont systématiques chez le constructeur doivent être possibles pour tous les réparateurs. Il en va d’ailleurs de la réputation de fiabilité des marques pour l’usager du véhicule. Les mises à jour sont proches des 20 % des interventions actuellement, mais seront sans doute systématiques à chaque passage d’un véhicule dans l’atelier dès 2025.

Aujourd’hui, il s’agit de reprogrammer un élément lorsqu’il a été remplacé, ou que son démontage a entraîné une nécessité de mise à jour. Ainsi le remplissage de la cérine dans certaines voitures du groupe PSA nécessite une reprogrammation du calculateur d’injection.

Un groupe de travail pour démystifier

Les difficultés d’accès à cette pratique ont conduit des fédérations à s’y intéresser, à commencer par la FEDA, son travail étant repris depuis par le CNPA, sous l’égide d’Yves Riou, directeur du pôle contrôle maintenance réparation pour la branche de la réparation indépendante qui représente 12 000 réparateurs en France. Ce groupe de travail exerce sur plusieurs niveaux : tout d’abord il teste la faisabilité du téléchargement avec des équipements multi-marques adaptés au téléchargement à la norme passthru, sur toutes les marques distribuées en Europe. Il agit également au niveau européen pour que soient respectés les droits au téléchargement au regard des difficultés rencontrées lors des tests. Enfin, le groupe de travail participe à l’élaboration des normes automobiles, notamment sur celles relatives au téléchargement des calculateurs, pour que soit respecté le libre accès des réparateurs aux données techniques et à une réparation en toute équité.

Des propositions chez tous les équipementiers

Pour que les indépendants puissent effectuer des opérations de téléchargement de calculateurs, les fabricants d’appareils de maintenance électronique proposent depuis déjà plusieurs années des interfaces véhicule qui répondent à la norme de dialogue dite passthru, la SAE J2534. Comme évoqué plus haut, la présence de cette fonctionnalité ne garantit pas l’accès aux opérations de téléchargement, mais est indispensable pour pouvoir engager une requête. Il faut que le véhicule soit mis en sécurité électrique (batterie sous tension stabilisée), qu’une connexion Internet fiable soit établie, que les liens informatiques soient réalisés avec les serveurs du constructeur et qu’un achat de droit de téléchargement soit effectué.

Selon le groupe de travail du CNPA, ce sont les dernières étapes qui sont les plus difficiles à réaliser. Si les fabricants d’appareils proposent la fonction passthru sous protocole SAE J2534, peu disposent de la norme ISO 22900, qui répond également au mode de lien DoIP Ethernet.

Il faut également savoir que les sites constructeurs et les logiciels nécessaires au téléchargement ne répondent pas tous aux mêmes standards de Windows (32 ou 64 bits…), nécessitant dès lors plusieurs ordinateurs différents lorsque l’on veut travailler sur plusieurs marques différentes…

La démarche originale de Delphi

On peut arriver plutôt en retard sur ses concurrents mais disposer d’atouts assez convaincants. Delphi dispose de près de 20 ans d’expérience dans le diagnostic et la maintenance électronique. Pour établir des bases solides à son système, les Anglo-Américains se sont associés à des Suédois (Autocom) qui avaient développé une interface et des logiciels dès la fin des années 90. Delphi le complète d’une base de données et de spécificités à sa marque. En 2004, le poids lourd venait compléter la gamme qui s’appuie sur une interface connectée et alimentée par la prise E-OBD et un ordinateur d’affichage où sont installés le logiciel de maintenance électronique et les bases d’informations.

Jusqu’à maintenant, pas de connectivité avec les standards SAE J2534 passthru. L’entreprise s’est penchée sur le problème en interne avec une interface spécifique, le DS-Flash. Pour accueillir les liens avec les constructeurs, Delphi fournit dans sa solution un ordinateur Panasonic pro déjà préinstallé avec les liens des sites de la plupart des constructeurs. Le client dispose de câbles (par exemple BMW broches rondes) et en option (fortement recommandable), d’une alimentation stabilisée 12 V.

Delphi DS Flash, prêt à télécharger

Présenté depuis quelques semaines par les équipes commerciales de Delphi, le DS Flash est l’outil qui doit permettre aux indépendants de travailler comme les réparateurs agréés. Non seulement l’interface est conforme à toutes les normes et protocoles présents dans le SAE J2534, mais elle est déjà prévue pour les véhicules obéissant au protocole ISO 22900 (pour les véhicules en DoIP, norme Ethernet). Pour travailler avec cette interface, un PC dédié est fourni dans le kit. Il est d’origine téléchargé avec les logiciels d’accès aux bases constructeurs, installés sur 4 partitions séparées du disque dur, toutes avec une license Windows spécifique pour travailler en indépendance sur les marques qui le nécessitent.

C’est sans doute là la force du DS-Flash, qui affranchit le réparateur de toute la partie rébarbative de recherche des procédures pour atteindre chacun des sites de constructeur. Par ailleurs, Delphi fournit l’assistance sur son outil pour aider le réparateur à franchir les derniers obstacles ainsi que pour pallier l’absence de certains accès, dont les mises à jour ne sont pas intégrées.

En incluant le chargeur intelligent Gys Flash qui assiste la batterie au maintien d’une tension suffisante pendant les opérations de téléchargement, le »kit » DS-Flash est facturé au tarif de base de 7 000 euros. Le prix de la tranquillité !

Et le mécano ?

Pour le mécanicien, faire du téléchargement sera assez rapidement une opération de routine mais qui aura imposé des apprentissages conséquents. Il lui faudra maîtriser l’utilisation des différents logiciels des constructeurs et l’organisation des informations dans ceux-ci. Pour certaines marques, ils pourront même faire du diagnostic directement avec les systèmes du constructeur qui sont intégrés dans l’offre, un plus pour les réparateurs qui sont spécialisés dans une marque en particulier.

Le GNFA (pour la formation continue) et le GARAC, l’école des professions de l’automobile (pour la formation initiale) ont déjà prévu des formations spécifiques au téléchargement sous protocole SAE J2534 et ISO 22900. Par cession d’une journée avec théorie du téléchargement et pratique marque par marque, les stagiaires vont acquérir les bases indispensables à cette prestation.

Parole d’expert

Yves Riou est directeur du pôle contrôle maintenance réparation au CNPA, le syndicat des professions de l’automobile et à ce titre, il défend les réparateurs dans l’accès aux données techniques. Au sein d’un groupe de travail dédié au téléchargement des calculateurs, il étudie la faisabilité avec les appareils du commerce de réaliser les téléchargements.

«Aujourd’hui, nous avons testé 14 marques en téléchargement, nous sommes à valider la faisabilité pour Mercedes et BMW et nous aurons alors 85 % des véhicules roulants du parc automobile depuis l’arrivée de la norme Euro 5 qui impose les accès au téléchargement. Faire ce travail est indispensable pour les réparateurs indépendants et c’est une des missions du CNPA que d’assurer la pérennité d’activité de ces professionnels qui sont plus de 12 000 inscrits à notre syndicat.

Nous pouvons considérer que l’essentiel est désormais réalisé, mais il faut rester vigilant car les constructeurs établissent en permanence de nouvelles procédures pour accéder aux données techniques et nous devons être capables de procéder à une veille permanente.

Nous testons également les appareils de maintenance adaptés au téléchargement, pour connaître, avec les fabricants, la faisabilité des opérations depuis leurs équipements.

Nous avons travaillé avec les professionnels spécialisés, avec des consultants du domaine ainsi qu’avec les organismes de formation qui peuvent ainsi mettre en place les sessions de formation pour les professionnels et intégrer le téléchargement dans les programmes de formation initiale. »

Source : www.apres-vente-auto.com

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{$PUBLISHER} - Bosch retrace l’histoire de la clé de voiture

Premier commutateur rotatif en 1900
Tourner la clé de contact et partir ? Pas en 1900. Démarrer un véhicule était à l’époque un processus complexe constitué d’une dizaine d’étapes différentes que seul un chauffeur dûment formé était capable de maîtriser. L’activation du contact à l’aide d’un commutateur rotatif n’était que l’une d’entre elles. Les voleurs de voitures devaient alors faire preuve d’une détermination à toute épreuve.

La naissance de la clé de voiture
L’année 1910 marque la naissance de la clé de voiture au sens le plus large, et le début d’une longue histoire de prévention des vols de voitures. Les clés sont alors utilisées pour verrouiller le circuit électrique pour l’allumage, mais le moteur doit toujours être démarré à la manivelle.

High-tech dans le style 1920
Dans les années 1920, les gens commencent à verrouiller leurs portières de voiture, mais ils ont besoin pour cela d’une clé séparée. Le contacteur d’allumage et de démarrage s’impose progressivement lui aussi. Non seulement il verrouille le circuit électrique, mais il lance aussi le démarreur. Une fois la clé retirée, le volant peut être bloqué, ce qui est une évidence aujourd’hui, mais relevait à l’époque d’une prouesse de haute technologie.

Clé de voiture royale
L’extravagance n’est jamais passée de mode. Une clé en or personnalisée est fabriquée pour la reine Soraya d’Iran, pour sa Mercedes-Benz 300 SL.

Deux en un
Jusque dans les années 1960, certaines voitures comportaient deux clés différentes : l’une pour déverrouiller la portière et l’autre pour l’allumage. Peu à peu, une clé unique pour la serrure et l’allumage devient ensuite la norme.

La clé de voiture prend forme
Vers les années 1960, les clés de voiture commencent peu à peu à prendre des formes connues, qu’elles conserveront jusque dans les années 1980, voire au-delà

Naissance du verrouillage centralisé
Un design familier pour de nouvelles fonctions : le milieu des années 1990 voit l’avènement des systèmes de verrouillage centralisé. Depuis lors, les automobilistes n’ont plus besoin de faire le tour de leur véhicule pour verrouiller les portières une par une.

Une oeuvre d’art onéreuse
A voiture de luxe, clé de luxe. La société berlinoise Noblekey se spécialise dans la fabrication de ces clés haut de gamme. La photo montre une clé en or exotique incrustée de pierres précieuses et semi-précieuses.

Des clés de voiture toujours plus pratiques
Les premières télécommandes sans fil facilitent le verrouillage/déverrouillage des voitures. D’un simple clic, toutes les portières se déverrouillent. Si l’automobiliste ne se souvient pas exactement de l’endroit où il a garé sa voiture, une télécommande sans fil l’aide à la localiser, les feux se mettant à clignoter lors du déverrouillage des portières.

Systèmes d’accès sans clé
Le progrès ne s’est assurément pas arrêté aux télécommandes sans fil : les systèmes de verrouillage sans clé, qui font leur entrée dans les voitures de série en 1999, permettent aux automobilistes non seulement de verrouiller et déverrouiller les portières, mais aussi de démarrer le moteur par simple pression sur un bouton. Finies les clés de contact et les serrures de contact d’allumage.

Attention aux voleurs de voitures
Les systèmes d’accès sans clé classiques nécessitent d’avoir toujours la clé de voiture sur soi, dans une poche de veste ou de pantalon par exemple. Pour ouvrir la portière et démarrer le moteur, celle-ci communique avec la voiture à l’aide d’un signal radio dans la gamme basse fréquence (LF) ou ultra-haute fréquence (UHF). Dans sa lutte contre les vols de voitures, l’industrie automobile ne cesse de perfectionner les systèmes existants, à l’image d’un marathon.

Le smartphone se transforme en clé de voiture
Le système d’accès sans clé Bosch destiné aux voitures fonctionne avec une clé virtuelle stockée sur un smartphone. Des capteurs installés à bord de la voiture reconnaissent le smartphone du propriétaire avec le même niveau de sécurité qu’une empreinte digitale et n’ouvrent le véhicule que pour lui. La gestion numérique des clés relie l’application et le véhicule via le cloud.

Source : www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - La mise à jour logiciels à distance bientôt généralisée

Ordinateurs, téléphones et autres appareils électroniques grand public reçoivent couramment des mises à jour à distance de leur système d'exploitation et de leurs applications. L’automobile n’en est encore qu’aux prémices mais le mouvement est en cours.

Les mises à jour à distance d’un véhicule permettent de proposer de nouveaux services ou d’introduire des évolutions dans les logiciels pour améliorer les performances ou corriger des bugs. Elles sont d'ailleurs d' autant plus importantes qu’elles pourraient probablement être effectuées sur des véhicules âgés jusqu’à 10 ans ou plus contre 2 à 3 ans pour les smartphones.

Ainsi de nouveaux styles d’affichage peuvent être proposés sur les écrans ou la commande vocale d’un système de navigation peut être enrichie de la dénomination des établissements (piscine, mairie, circuit de karting, etc.) plutôt que de rentrer leur adresse. Plus critique et conditionnée à une cybersécurité contre le piratage éprouvée, une mise à jour des éléments de la chaîne cinématique ou de systèmes de conduite est également possible, par exemple en ce qui concerne le comportement d’un moteur électrique, d’un régulateur de vitesse adaptatif ou d’aide au stationnement.

En 2008 déjà, BMW annonçait un premier déploiement de mises à jour à distance et avait confirmé qu’une Série 6 cabriolet, dont la capote était bloquée en position ouverte, a pu être dépannée à distance. Mais le premier constructeur à avoir généralisé cette technologie et l’avoir élargie à l’ensemble des fonctions du véhicule est Tesla, motivé notamment par la volonté d’implémenter fréquemment des évolutions et par la faible densité de son réseau après-vente. Les BMW X5 et Série 3 et 8 qui utilisent la nouvelle architecture électronique « BMW Operating System 7.0 » ont également cette capacité. General Motors la proposera pour la première fois sur la Cadillac CT5 prévue pour la fin de cette année et a annoncé qu’elle sera généralisée sur tous ses modèles en 2023.

Une nouvelle architecture électronique

Les mises à jour à distance nécessitent une nouvelles architecture électronique : connectivité élevée (de préférence Wifi), quelques supercalculateurs (à la fois pour accepter des modifications de programmes plusieurs années après leur conception et pour réduire le nombre de calculateurs et de connexions), une colonne vertébrale en Ethernet et des protections contre les attaques informatiques. Tesla ne dispose pas d'une telle architecture électronique mais s'est inspiré de celle des appareils informatiques classiques, les a dopés d’une puissance de calcul élevée et a fermé les systèmes pour que les mises à jour ne soient possibles que via son organisation.

Ces mises à jour à distance sont réalisées avec la participation du conducteur : véhicule stationné en sécurité, acceptation et lancement de l’opération, validation de la mise à jour et vérification du bon fonctionnement. Tesla, qui bénéficie d’une clientèle très ouverte à de tels procédés, a par exemple déjà proposé plusieurs améliorations de son système d’aide à la conduite Autopilot et, depuis quelques semaines, offre la possibilité de monter la limite de puissance de recharge des batteries des Model 3 de 120 kW à 250 kW sur un temps défini pendant l’opération.

Source : www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - L'assemblée vote l'assouplissement des 80 km/h

C'était un des détonateurs de la crise des "gilets jaunes": l'Assemblée nationale a voté un assouplissement des 80 km/h sur certaines routes secondaires, en laissant la responsabilité aux départements et aux maires d'adapter la vitesse.

Au terme d'un débat nourri, les députés ont adopté à main levée l'article du projet de loi mobilités qui prévoit de permettre aux présidents de conseils départementaux de déroger à la limitation. Ils ont élargi la compétence aux maires, via un amendement LREM.

L'abaissement de la vitesse de 90 à 80 km/h, concernant environ 400.000 kilomètres de routes, avait été décidée par le Premier ministre Edouard Philippe et appliquée au 1er juillet 2018. Il s'agissait de sauver "300 à 400 vies par an" après une recrudescence de la mortalité routière entre 2014 et 2016, suivie d'une baisse en 2017.

Mais devant le tollé soulevé chez des automobilistes, motards et élus, le chef du gouvernement a fait machine arrière mi-mai, ouvrant la voie à un compromis lors de l'examen du projet de loi porté par Elisabeth Borne. Et ce, alors même que l'année 2018 s'était achevée sur un plus-bas historique, avec 3.259 morts sur les routes.

Pour Edouard Philippe, "si les présidents de conseils départementaux souhaitent prendre leurs responsabilités, je n'y vois aucun inconvénient". En fixant toutefois une condition: que ce pouvoir soit "systématiquement assorti de mesures" garantissant "le plus haut niveau de sécurité routière possible".

Les députés LREM ont d'abord choisi de réserver cette compétence aux présidents de département, par un premier vote en commission. Le Sénat, qui avait examiné le projet de loi auparavant, avait donné ce pouvoir également aux préfets.

Via un amendement LREM, la compétence a été élargie jeudi soir aux maires et les députés ont précisé que l'arrêté devra être pris "après avis de la commission départementale de la sécurité routière, sur la base d'une étude d'accidentalité portant sur les sections de routes concernées".

Les élus d'opposition - LR en tête -, sont à nouveau montés au créneau contre les 80 km/h, une "connerie" et le "symbole d'une France à deux vitesses" qui a été le "détonateur des longues semaines de crise".

"Trompe-l'oeil"

Mobilisés en nombre, les LR ont reproché à l'assouplissement d'"oublier les routes nationales", sous autorité de l'Etat. Ils ont aussi relayé la demande des présidents de département de pouvoir solliciter l'avis du préfet, avant de prendre une décision.

Pour l'élu du Cantal Vincent Descoeur, le "pas de recul" du Premier ministre est ainsi un "trompe l'oeil", son collègue du Jura Jean-Marie Sermier jugeant "pas tolérable" que l'Etat ne prenne pas "ses responsabilités".

"Nous souhaitons faire confiance aux élus", leur a répondu la ministre des Transports Elisabeth Borne, mais pour les routes nationales, "les préfets ne dérogent pas aux décisions du Premier ministre".

"Il s'agit de sauver des vies", a-t-elle rappelé, notant qu'"au cours du deuxième semestre 2018, ce sont 127 vies qui ont été épargnées grâce à la décision sur les 80 km/h", des chiffres laissant dubitatif côté LR.

La ministre a eu l'appui de "marcheurs", Pascale Boyer racontant notamment avec émotion comment son fils a échappé à la mort il y deux jours après "quatre tonneaux" sur une route à 80 km/h. Sans cette vitesse réduite, "je ne serais pas dans l'hémicycle ce soir et je serais en train de pleurer mon fils", a-t-elle lancé.

La vitesse excessive est la première cause de mortalité sur les routes de France, selon la Sécurité routière.

"Il ne faut pas renvoyer la patate chaude aux maires", plaide le communiste Sébastien Jumel. D'autant qu'une incertitude juridique régnerait concernant la responsabilité pénale des élus en cas d'accident. Pour Jean-Paul Lecoq (PCF), cela ressemble "à un piège".

L'ancien "marcheur" François-Michel Lambert (Liberté et territoires) estime qu'"il ne faut pas toucher aux 80 km/h": "revenir en arrière, c'est la certitude d'avoir des morts".

Source : www.am-today.com

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{$PUBLISHER} - Les offres d'AAE Expertise

AAE Expertise, cabinet d'expertise automobile basé à Aurillac, n'hésite pas à accompagner ses clients jusqu'au bout des procédures judiciaires partout en France

Marc Puech, diplômé en génie mécanique et productique, ingénieur en circulation routière et expert de justice auprès de la cour d'appel de Riom (www.cneja.fr) maîtrise l'expertise en automobile et l'accidentologie.

Il opère dans ce milieu depuis près de 30 ans et c'est en 2005 qu'il décida de reprendre avec un associé le cabinet d'expertise automobile "Aurillac Auto Expertiseʺ, entreprise créée en 1976 par son père Julien Puech.

Toutes les investigations nécessaires

Dans ce secteur lié à l'accidentologie, AAE Expertise procède à toutes les investigations nécessaires à l'examen d'un véhicule pour notamment déterminer, les causes et circonstances de l'accident.

Il effectue des reconstructions en 3D de l'accident assisté par ordinateur.

Il dispose également d'outils indispensables qui permettent les lectures des boîtiers calculateurs d'airbags, d'enregistreurs d'événement, moteur, chronotachygraphe, etc. "Le plus souvent, les personnes touchées par ces événements se tournent vers les forces de l'ordre et leur gestionnaire d'assurance, affirme Marc Puech. Ils n'ont pas une réponse à toutes leurs questions et surtout les délais sont longs. Ce qui fait que lorsqu'ils veulent agir les éléments factuels de preuves ont disparu, comme les traces sur la chaussée, voire les véhicules".

Il intervient aussi pour les litiges en mécaniques et en carrosserie sur tous véhicules, qu'ils concernent des particuliers entre eux lors d'une vente par exemple ou suite à l'intervention ou la vente par un professionnel de l'automobile.

De la phase amiable à la phase judiciaire

De la phase amiable à la phase judiciaire, Marc Puech maîtrise parfaitement les procédures de gestion d'un litige. "J'ai créé des bases de données qui permettent de répondre à de nombreux cas et d'avoir des solutions à des problèmes techniques".

Depuis cinq ans, son site web permet également à ses clients d'avoir accès au suivi de la gestion de leurs dossiers ( www.az-area.fr ).

Côté développement durable, il vient de lancer une plateforme en ligne de gestion d'expertise, un centre de formation dédié aux techniciens de l'automobile, ainsi qu'un laboratoire pour la lecture et l'analyse de boîtiers électroniques ( www.ladda.fr ).

Il conseille également les clients sur des réparations en pièces de réemploies certifiées pour aider à trouver des solutions amiables aux litiges.

Source : www.autoplus.fr

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{$PUBLISHER} - Certimoov.com : un site internet pour aider les motards et les cyclistes à choisir leur casque

Certimoov est un protocole de test mené par la Fondation Maif en collaboration avec la Mutuelle des motards et développé par les biomécaniciens de l'Université de Strasbourg. Il vise à tester la capacité de protection de casques destinés aux motards et aux cyclistes. Le but étant d'informer les utilisateurs mais aussi les constructeurs et les autorités sur le niveau de protection d’équipements grâce à un système de notation des casques de 0 à 5 accessible en ligne sur le site certimoov.com.

La méthode Certimoov a été créée pour évaluer les casques dans des conditions plus réalistes, que celles des normes européennes, en prenant en compte de nouveaux types de choc et des critères de blessure du cerveau. Les normes européennes testent en effet les casques en situation de choc rectiligne, c’est-à-dire perpendiculaire à la surface impactée. Certimoov recrée des chocs plus réalistes (chocs obliques) et intègre le nouveau modèle d’analyse pour mesurer l’impact d’un choc sur le cerveau.

Le travail d'évaluation biomécanique du casque proposé par le laboratoire des sciences de l'ingénieur, de l'informatique et de l'imagerie – ICube – de l’Université de Strasbourg a été récompensé par le Prix innovation sécurité routière 2019.

Le site de certimoov
www.certimoov.com

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{$PUBLISHER} - Le Cerema propose en téléchargement des fiches afin d'améliorer la sécurité routière liée aux infrastructures

Afin d'améliorer la sécurité routière liée aux infrastructures, le Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (Cerema) a mis en ligne 6 fiches méthodologiques ayant pour objet de présenter des démarches de sécurité routière existantes au plan national et dont peut s’inspirer tout gestionnaire de voirie afin d’optimiser la sécurité de son réseau. Les fiches «Panorama général», «Évaluation des incidences sur la sécurité routière», «Audits de sécurité routière», «Suivi continu de la sécurité d'un réseau», «Patrouillage et suivi de l'accidentalité», «Inspections de sécurité routière des itinéraires», «Sécurité des usagers sur les routes existantes (SURE)» sont disponibles en téléchargement sur le site du Cerema.

Démarches de sécurité routière orientées vers l'infrastructure : une série de fiches pratiques du Cerema à télécharger
www.cerema.fr

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{$PUBLISHER} - Volvo Cars célèbre 60 ans de partage de connaissances en matière de sécurité avec une bibliothèque numérique accessible à tous

Déterminé à améliorer la sécurité sur les routes pour tous, Volvo Cars innove en mettant à disposition ses connaissances en matière de sécurité dans une bibliothèque numérique centrale et invite les entreprises de l’industrie automobile à consulter sans tarder ces données.

Cette annonce illustre parfaitement la philosophie du constructeur, qui consiste à améliorer la sécurité et à sauver des vies grâce au partage des connaissances. Elle coïncide également avec le soixantième anniversaire de ce qui est probablement l’invention la plus importante de l’histoire de la sécurité automobile : la ceinture de sécurité trois points.

La ceinture de sécurité trois points a été lancée par Volvo Cars en 1959. On estime que cette invention a permis de sauver plus d’un million de vies dans le monde, non seulement à bord de véhicules Volvo, mais aussi de nombreuses autres voitures, grâce à la décision du constructeur de partager son invention dans le but d’améliorer la sécurité sur les routes. Depuis, Volvo Cars a toujours fait passer le progrès sociétal avant le gain financier.

Pour fêter cette avancée majeure et souligner sa tradition de partage des connaissances allant au-delà des brevets et des produits matériels, Volvo Cars a décidé de lancer l’Initiative E.V.A. (« Equal Vehicule for All » ou « Des voitures plus sûres pour tous »). En plus de refléter et de célébrer soixante ans de partage de recherches consacrées à la sécurité routière à l’échelle mondiale, cette initiative met en exergue un problème fondamental : l’inégalité en termes de développement de la sécurité automobile.

« Nous disposons de données sur des dizaines de milliers d’accidents réels. Elles nous aident à assurer un niveau de sécurité maximum sur nos voitures au regard de la réalité de la route », explique Lotta Jakobsson, professeure et spécialiste technique au Centre de sécurité de Volvo Cars Safety. « Cela signifie que nos voitures sont développées dans le but de protéger toutes les personnes, indépendamment de leur sexe, de leur taille, de leur silhouette ou de leur poids. Notre raisonnement va au-delà de la ‘personne moyenne’ représentée par les mannequins des crash tests. »

En s’appuyant sur les données des recherches menées par Volvo Cars et de plusieurs autres études, l’Initiative E.V.A. montre que les femmes sont plus exposées à certaines blessures lors d’un accident de voiture. En raison de différences d’ordre anatomique et liées à la musculature du cou, elles sont par exemple davantage susceptibles de subir le coup du lapin.

Sur la base de ces études et de ses propres données en matière d’accidents, Volvo Cars a créé des dispositifs anthropomorphes virtuels afin de mieux comprendre ces accidents et de développer des technologies de sécurité permettant de protéger les hommes et les femmes de façon égale. La première technologie issue de ce travail a été WHIPS, la protection anti-coup du lapin. Introduite en 1998, elle a contribué à l’aspect unique des sièges et appuie-têtes Volvo.

La volonté de privilégier le progrès sociétal continue de guider le travail de Volvo Cars en matière de sécurité. Le constructeur ne développe pas de nouvelles technologies dans le simple but de respecter des normes de sécurité et de réussir des tests. Il le fait car les données issues de ses recherches, basées sur une analyse détaillée de dizaines de milliers d’accidents réels, permettent d’identifier les domaines dans lesquels la sécurité peut être améliorée.

Dans les années 80, Volvo Cars a commencé à se pencher sur les chocs latéraux, ses données laissant en effet apparaître un nombre excessif de blessés dans ces accidents en raison de la courte distance entre le point d’impact et l’occupant. À partir des années 90, cette démarche s’est concrétisée à travers plusieurs innovations, telles que le système de protection contre les chocs latéraux (SIPS), les airbags latéraux et les rideaux gonflables. Toutes ces innovations, issues des données de recherche de Volvo, sont devenues des standards de l’industrie automobile.

Plus récemment, les données des recherches de Volvo Cars ont mis en lumière le problème des blessures à la colonne lombaire, en bas du dos. Celles-ci touchent toutes les personnes, indépendamment de leur taille et de leur sexe. En approfondissant son analyse et ses études, Volvo s’est concentré sur les dangers des blessures consécutives aux sorties de route. Ces travaux ont débouché sur une nouvelle technologie, lancée sur le XC90 et désormais disponible sur toutes les voitures basées sur l’architecture SPA ; il s’agit d’un absorbeur d’énergie installé dans les sièges dont les caractéristiques dépassent largement les exigences imposées aux constructeurs automobiles.

Source : http://www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - Nissan teste la technologie Invisible-to-Visible en conditions réelles

  • Dévoilée en janvier au CES, la technologie Invisible-to-Visible mêle virtuel et réel pour plus d’agrément et de sécurité
  • Les tests grandeur nature démarrent au Japon en coopération avec l’opérateur 5G Docomo
  • Les passagers seront notamment accompagnés d’avatars 3D pour le premier essai réel du système Invisible-to-Visible

Nissan et NTT DOCOMO, INC. vont tester la technologie Nissan Invisible-to-Visible (I2V) dans un véhicule en circulation, à l’aide de la connectivité mobile 5G de DOCOMO.

La technologie Nissan I2V, présentée au CES de Las Vegas en janvier dernier, va être testée à Grandrive, le centre d’essai Nissan situé à Yokosuka au Japon.

Invisible-to-Visible, ou I2V, est une technologie Nissan Intelligent Mobility qui fusionne les mondes réel et virtuel. En combinant des informations provenant de capteurs situés à l’extérieur et à l’intérieur du véhicule et des données du Cloud, elle aide les conducteurs à « voir l’invisible » : ce qui se trouve un peu plus loin sur leur trajet, derrière un bâtiment ou au coin de la rue, et ainsi à anticiper les éventuels dangers de la route.

I2V connecte également les conducteurs et les passagers au Metaverse, un monde virtuel dans lequel les utilisateurs peuvent interagir via des avatars. Des membres de la famille, amis ou proches peuvent ainsi apparaître dans la voiture en réalité augmentée sous forme d’avatars 3D, afin de tenir compagnie aux passagers ou de leur apporter de l’aide.

Les essais réels seront réalisés à l’aide de la connectivité mobile 5G à faible latence, haute capacité et grande vitesse de DOCOMO, qui permet au véhicule de test de recevoir les données des avatars et de transmettre les vidéos des caméras intérieures de la voiture en temps réel. Le véhicule de test est élaboré à partir du fourgon Nissan NV350 Caravan commercialisé au Japon.

Les deux entreprises vont évaluer comment les personnes se trouvant dans la voiture physiquement et sous forme d’avatars ressentent leurs présences respectives via les interfaces utilisateur. La facilité d’utilisation des fonctionnalités du système I2V sera également évaluée.

Nissan et DOCOMO prévoient de poursuivre les tests et les travaux de recherche sur la technologie I2V et ses applications, afin d’offrir des expériences connectées innovantes aux conducteurs de demain.

Dévoilée par Nissan en janvier au CES de Las Vegas, la technologie I2V est issue de la vision Nissan Intelligent Mobility, stratégie de la marque visant à transformer l’univers automobile : la manière de conduire, l’évolution des motorisations et l’intégration des véhicules dans la société.

Source : http://www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - Volvo Cars installera des caméras embarquées permettant aux voitures d’intervenir en cas de conduite en état d’ébriété ou de distraction au volant

Volvo Cars amorce une nouvelle étape dans son ambition de réduire à zéro les accidents mortels à bord de ses voitures, et s’attaque aujourd’hui aux problèmes posés par l’alcool et la distraction au volant.

Outre le problème de la vitesse, que le constructeur aborde par la limitation de la vitesse maximale de ses voitures, la conduite sous l’emprise de l’alcool et la distraction sont deux autres sujets de préoccupation majeurs pour la sécurité routière. Ces trois points constituent les principaux obstacles entravant la vision de Volvo Cars d’un avenir sans accident mortel et impliquent que le travail du constructeur en matière de sécurité doit également se concentrer sur le comportement humain.

Les chiffres de la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) montrent par exemple que 30 % des décès causés par des accidents de la route enregistrés aux États-Unis en 2017 étaient liés à la conduite sous l’emprise de l’alcool.

Selon Volvo Cars, l’installation de caméras de détection de vigilance et autres capteurs embarqués permettant d’analyser le comportement du conducteur pourraient être la solution à l’ivresse au volant ou à la distraction. Ce système va permettre à la voiture d’intervenir si un conducteur visiblement distrait ou en état d’ébriété ne réagit pas aux signaux d’avertissement, et risque un accident grave ou mortel.

Cette intervention pourrait consister à limiter la vitesse de la voiture, à alerter le service d’assistance Volvo on Call et, en dernier recours, à faire ralentir et stationner la voiture en toute sécurité.

« En matière de sécurité, notre objectif est d’éviter les accidents, et non de limiter leur impact lorsqu’ils sont imminents et inévitables », indique Henrik Green, Senior Vice President Research & Development de Volvo Cars. « Dans le cas présent, les caméras identifieront les comportements susceptibles d’entraîner des accidents graves ou mortels. »

Ces comportements peuvent prendre plusieurs formes : absence totale d’intervention sur le volant pendant des périodes prolongées, conducteur fermant les yeux ou détournant son regard de la route pendant trop longtemps, changements de voies intempestifs, ou temps de réaction trop longs.

Un tel système de détection de vigilance du conducteur constitue un élément important pour permettre à la voiture de prendre des décisions afin d’éviter des accidents graves ou mortels.

« De nombreux accidents sont dus à la conduite sous l’emprise de l’alcool », indique Trent Victor, professeur en comportement des conducteurs chez Volvo Cars. « Certaines personnes pensent encore qu’elles sont capables de conduire en ayant bu et que cela n’affectera pas leurs facultés. Nous voulons nous assurer que les gens ne se mettent pas en danger à cause de l’alcool. »

L’installation de caméras à bord de tous les modèles Volvo débutera sur la future génération de la plateforme évolutive SPA2, au début des années 2020. Les détails concernant le nombre exact de caméras et leur emplacement dans l’habitacle seront fournis ultérieurement. Volvo Cars to deploy in-car cameras and intervention against intoxication, distraction

L’annonce d’aujourd’hui doit être considérée sur le même plan que la limitation de la vitesse maximale de toutes les voitures à 180 km/h voulue par le constructeur à compter de l’année modèle 2021, laquelle vise à envoyer un message fort sur les dangers de la vitesse au volant.

Volvo Cars souhaite engager un dialogue concernant le droit, voire l’obligation, pour les constructeurs automobiles d’installer des technologies modifiant le comportement des conducteurs. La limitation de la vitesse et l’installation de caméras embarquées illustrent la façon dont les constructeurs peuvent contribuer activement à l’objectif de réduire à zéro le nombre d’accidents mortels sur les routes en contribuant à l’amélioration du comportement des conducteurs.

Volvo Cars a également présenté aujourd’hui la Care Key, une clé qui permet aux conducteurs d’une Volvo de paramétrer la vitesse maximale de leur voiture avant de la prêter. Cette fonctionnalité sera installée sur toutes les voitures à compter de l’année modèle 2021.

La Care Key, les caméras de détection de vigilance, la limitation de la vitesse ainsi que les systèmes d’assistance à la conduite existants sont tous tournés vers un même objectif : améliorer la sécurité au volant.

Source : http://www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - Le système d’alerte « véhicule à contresens » de Bosch déployé dans 13 pays européens

  • Des millions de conducteurs bénéficient du système d’alerte Bosch, proposé par une quinzaine de fournisseurs d’application
  • Les applications smartphone alertent le conducteur circulant à contresens et les automobilistes arrivant en sens inverse
  • 400 véhicules en contresens sur les autoroutes françaises chaque année

Le risque de se retrouver face à une voiture en contresens sur l’autoroute est réel : en France, les flashs d’information routière diffusent entre un et deux messages par jour signalant des véhicules en contresens, soit près de 400 par an. Basée sur le cloud, le système d’alerte « véhicule à contresens » Bosch fait la démonstration qu’il peut sauver des vies. Dans 13 pays européens désormais, cet ange gardien venu du cloud alerte non seulement le conducteur circulant à contresens mais aussi les usagers de la route présents dans la zone à risque.

Depuis son intégration, pour la première fois en Allemagne début 2018, dans plusieurs applications radio avec près de 400 000 utilisateurs actifs, le système d’alerte développé par Bosch affiche une belle progression : désormais intégré sur une quinzaine d’applications de navigation, de streaming, de radio et portail d’information. Ce service est ainsi mis à la disposition de plusieurs millions d’utilisateurs, y compris en France. « L’objectif de Bosch est de prévenir les accidents mortels, causés par des véhicules circulant à contresens. Et pour cela, nous voulons déployer notre système d’alerte Bosch à grande échelle. » déclare Markus Heyn, membre du Directoire de Bosch.

Un logiciel d’interconnexion intelligent

La distance parcourut par près d’un tiers des véhicules circulant à contresens est d’environ 500 mètres. Pour détecter si un véhicule s’engage sur l’autoroute à contresens, le système d’alerte compare le mouvement réel du véhicule avec le sens de circulation autorisé, enregistré dans une base de données. L’application doit être ouverte en arrière-plan. S’il s’engage sur l’autoroute en contresens, le conducteur sera averti de son erreur via une notification push. Au même moment, les autres usagers de la route circulant dans la zone à risque seront eux aussi alertés. Plus le nombre de véhicules connectés sera important, plus le filet de sécurité sera dense et plus l’alerte pourra être complète.

Bosch a également développé un module logiciel qui permet d’intégrer l’alerte directement dans les systèmes d’info-loisirs des véhicules. Le conducteur la recevra alors en quelques secondes seulement, via l’affichage central du véhicule. Bosch mène actuellement des discussions à ce sujet avec plusieurs constructeurs automobiles dans l’optique d’équiper leurs véhicules de série.

Source : http://www.auto-innovations.com

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Une nouvelle batterie plus puissante et de plus grande capacité est proposée sur les Model S et Model X.

Depuis le début de l'aventure Tesla, ce constructeur produit des sportives électriques 5 places offrant une très grande autonomie pour ce type d'énergie, mais malheureusement à coût peu abordable. La berline Model S est disponible en version deux ou quatre roues motrices, le seconde étant propulsée par un moteur de 375 kW (510 ch) à l'arrière et un autre de 193 kW (262 ch) à l'avant. La version P90 avait jusqu'ici la plus grande autonomie – soit 509 km sur cycle NEDC – en puisant l'énergie dans une batterie de 90 kWh. Le constructeur vient d'annoncer la disponibilité de la P100D capable d'une autonomie de 613 km (estimation NEDC) grâce à une batterie de 100 kWh, soit une amélioration de 20% avec un accroissement de 11% de capacité !

La charismatique créateur et président de la marque, Elon Musk, précise que cette montée en capacité n'est pas obtenue par un ajout de cellules mais par une batterie de conception nouvelle. Il n'y aurait ainsi pas d'augmentation de masse du véhicule, ni de problème d'encombrement.

Cette nouvelle batterie est par ailleurs plus puissante, une caractéristique qui se mesure lors des accélérations puisque le 0 à 100 km/h en mode « Vitesse démesurée » (nommé Ludicrous aux USA) est réalisée en seulement 2,7 secondes contre 3,2 s pour la P90D. En fait, la batterie de 90 kWh ne pouvait pas alimenter les 568 kW pendant les 3,2 s et le constructeur avait annoncé par la suite une puissance maxi de 396 kW ! Par ailleurs, le système de refroidissement a également été revu.

La nouvelle batterie est également disponible pour le Model X qui peut parcourir 542 km (estimation NEDC) et, en mode « Vitesse démesurée », atteint 100 km/h en 3,1 s.

Les clients qui viennent de passer commande d'une P90D avec mode « Vitesse démesurée » peuvent sélectionner la batterie 100 kWh pour un surplus de 11'000 € alors que ceux qui sont déjà propriétaires d'une P90D doivent ajouter 22'100 € puisque leur batterie de 90 kWh déjà utilisée devra être recyclée.

Tesla précise que le tarif appliqué aux P100D permet de développer la Model 3, plus compacte et abordable.

source:http://www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - Lom : le Sénat valide l'accès aux données des véhicules connectés

Les sénateurs ont adopté l'amendement qui garantit un accès équitable aux données des véhicules connectés pour les professionnels dans le cadre de la Loi d'orientation des mobilités (Lom). Cet amendement a été déposé et défendu par Elisabeth Borne, ministre des Transports.

Retiré du projet de loi avant les discussions au Sénat sur la loi d'orientation des mobilités, l'article 13 qui garantit le principe d'accès équitable aux données vient de faire son retour.

Lors des débats en séance publique, Elisabeth Borne, ministre des Transports a soutenu ce principe "d'un accès non discriminatoire aux données pertinentes des véhicules pour le développement des services liés au véhicule de réparation, de maintenance et de contrôle technique automobiles, d'assurance et d'expertise automobiles, des services s'appuyant sur la gestion de flottes, des services de distribution de carburants alternatifs" indique le CNPA qui a été auditionné le 27 mars 2019 à l'Assemblée nationale. Ce principe d'un accès non discriminatoire est défendu par le CNPA qui encourage depuis de nombreux mois l'ouverture de ces données.

Ainsi cette nouvelle rédaction de l'article 13 intègre l'ensemble des services de réparation, de maintenance et de contrôle technique automobile. Selon La ministre des Transports " l’habilitation permettra une amélioration de la connaissance du trafic, d'éclairer les enquêtes de police, de corriger certains défauts de sécurité de série sur certains véhicules, d'améliorer les algorithmes de conduite automatisée, de favoriser la réparation des véhicules avec des conditions d’accès non discriminatoires entre acteur économiques d'un même marché, dans le respect des exigences de protection des données individuelles et de sécurité et d’intégrité des véhicules".

Concrètement, le gouvernement prendra par ordonnance dans un délai de 18 mois à compter de la publication de la loi Lom, toute mesure afin de rendre accessibles ces données. Le CNPA, qui compte bien participer à la préparation de cette ordonnance, estime que sans cet accès non discriminatoire, les règles de concurrence loyale entre opérateurs ne pourraient s'exercer.

En effet, si la Cnil, dans son pack de conformité publié en octobre 2017 a rappelé que les données générées par les véhicules appartenaient bien à l'utilisateur du véhicule. Mais les conditions de collecte de ces données pourraient également en limiter le contenu. "Actuellement une voiture comprend ainsi près de 100 millions de lignes de codes, soit 8 fois plus qu'un Boeing 787", comme l'indique Xavier Horent, délégué général du CNPA.

Source : http://www.journalauto.com

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{$PUBLISHER} - Généralisation du dispositif d’installation d'un éthylotest anti-démarrage comme possible alternative à la suspension du permis de conduire

Après une préfiguration réussie dans 7 départements (Drôme, Finistère, La Réunion, Loiret, Manche, Nord et Vendée), Christophe Castaner a décidé d’étendre à tout le territoire français la possibilité pour des personnes contrôlées en situation d’alcoolémie relevant du tribunal correctionnel d’éviter, sur décision préfectorale, la suspension de leur permis moyennant l’obligation de conduire un véhicule équipé d’un éthylotest anti-démarrage.

Pour lutter contre la conduite en état d’alcoolémie et contre la récidive de ce délit, le CISR du 9 janvier 2018 a souhaité favoriser l’usage de l’éthylotest anti-démarrage (EAD), actuellement trop peu utilisé, en complétant le dispositif existant (voir 2e encadré) par une mesure extrêmement innovante.

Désormais, le préfet a la possibilité, à l’issue d’un contrôle d’un conducteur présentant une alcoolémie relevant du tribunal correctionnel (supérieure à 0,8 g/L) de l’obliger à ne conduire que des véhicules équipés d’un EAD et, ce, pour une durée ne pouvant dépasser six mois. Le tribunal, au moment où le contrevenant lui sera présenté, pourra décider de prolonger cette obligation pour une durée pouvant aller jusqu'à cinq ans. Le tribunal pourra également choisir de moduler l’amende encourue jusqu’à un maximum de 4 500 euros, ce qui permettra de compenser le coût de l’installation de l’EAD à la charge de la personne en infraction.

Cette mesure, véritable alternative à la suspension du permis de conduire, permettra à ceux qui en seront les bénéficiaires (des contrevenants non récidivistes, et dans la mesure où leur taux d’alcoolémie ne dépassera pas 1,8 g/L) de pouvoir continuer à conduire et de conserver leur activité professionnelle tout en garantissant la sécurité des autres usagers de la route. Ce dispositif, particulièrement utile pour ceux qui utilisent tous les jours leur véhicule, notamment pour se rendre au travail, est responsabilisant et exemplaire, ce qui lui confère son efficacité, amplement démontrée à l’étranger.

Le dispositif a donné lieu à une préfiguration dans 7 départements (Drôme, Finistère, La Réunion, Loiret, Manche, Nord et Vendée).

Dans ces conditions, Christophe Castaner, ministre de l’intérieur, a adressé à tous les préfets une note les invitant à mettre en œuvre cette nouvelle possibilité.

En 2017, 1 035 personnes ont perdu la vie dans un accident de la route impliquant un conducteur au-dessus des seuils autorisés d’alcoolémie. En 2017, les forces de l’ordre ont constaté 123 926 délits d’alcoolémie soit 20,8% des délits routiers (-6,7% par rapport à 2016).

L’éthylotest anti-démarrage (EAD) : comment ça marche ?

Ce dispositif interdit le démarrage d’un véhicule si le taux d’alcool du conducteur est positif ou si le démarrage n’a pas eu lieu dans les deux minutes qui suivent le résultat de ce premier souffle. Dès lors que le moteur du véhicule a démarré, l’équipement demande de manière aléatoire (entre 5 et 30 minutes après le démarrage du moteur) un nouveau souffle qui doit lui aussi être réalisé à l’arrêt : le conducteur dispose alors d’un délai de 20 minutes pour effectuer ce nouveau contrôle. Un éthylotest anti-démarrage, à la charge du contrevenant, coûte environ 1 300 €. Il est également possible de le louer (100 € environ par mois). Il convient d’ajouter le prix du montage et du démontage.

La mesure mise en œuvre complète les différents recours possibles à l’installation de l’éthylotest anti-démarrage afin de lutter contre l’alcool au volant

L’EAD judiciaire

Il existe actuellement, au niveau judiciaire, la possibilité d’interdire à une personne condamnée pour alcoolémie délictuelle de conduire un véhicule qui ne soit pas équipé d’un EAD.

Par ailleurs, la mesure 11 du CISR qui, pour lutter contre la récidive en matière d’alcoolémie, rendra obligatoire la pose d’un EAD en cas de récidive d’une conduite en état alcoolique, sera prochainement mise en œuvre.

L’EAD médico-administratif

Le recours à l’EAD médico-administratif a été expérimenté dans la Drôme, le Finistère, la Marne et le Nord. Dans ces quatre départements, les médecins agréés de la commission médicale de la préfecture ont pu émettre un avis favorable à la restitution du permis de conduire par le préfet, dans le cas d’une personne devant se soumettre à un examen d’aptitude pour récupérer son permis de conduire en cas d’alcoolémie, sous réserve que deux conditions soient réunies :

  • l’installation aux frais de l’usager d’un EAD homologué dans le véhicule qu’il conduit ;
  • un suivi médico-psychologique dans une consultation spécialisée en addictologie.
Le préfet du département peut délivrer à la personne concernée, sur la base de cet avis médical, un permis de conduire d’une durée temporaire qui comprend une mention spécifique indiquant l’obligation d’EAD afin de permettre le contrôle par les forces de l’ordre. Ce dispositif a été étendu à l’ensemble du territoire national le 1er janvier 2019, conformément aux décisions du CISR du 9 janvier 2018.

Source : http://www.securite-routiere.gouv.fr

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{$PUBLISHER} - ROUTE 26, le premier accélérateur industriel de startups dédié à la mobilité

Dans un monde globalisé aux enjeux climatiques considérables, les technologies doivent accompagner la transition énergétique pour des déplacements plus efficients, durables et abordables. Dans ce sens, EMC lance ROUTE 26. Porte d’entrée dans le monde industriel, ce nouvel accélérateur héberge et mûrit des projets disruptifs ou de niche qui abordent la mobilité sous l’angle de l’optimisation énergétique dans un environnement où se concentrent de grands noms de l’industrie automobile.

L’ACCÈS À UN CENTRE TECHNIQUE D’EXCEPTION
ROUTE 26 est l’unique structure en France à rendre accessible un ensemble d’équipements de pointe avec 31 bancs d’essais, des ateliers d’usinage et de montage ainsi que des laboratoires (moteur et logiciels). Disposant de son espace dédié, l’accélérateur est implanté dans le centre technique d’EMC à Achères, au cœur du bassin parisien. Cette proximité avec les moyens industriels de la maison-mère permet un accompagnement continu par des experts sur des problématiques tant techniques que stratégiques. Chaque programme d’incubation vise à la réalisation finale d’un prototype viable et validé sur des moyens industriels concrets. Ainsi, il est garanti que le prototype réponde aux exigences du secteur industriel.

UN VIVIER D’INNOVATION POUR LES GRANDS GROUPES Bénéficiant des 25 ans d’expertise d’EMC dans l’automobile, l’aéronautique et la défense, ROUTE 26 se positionne comme une voie de communication facilitant la mise en relation des entrepreneurs avec des constructeurs et équipementiers. Les prototypes développés et validés chez ROUTE 26 assurent auprès des groupes industriels une innovation concrète. A l’issue du programme d’incubation, l’objectif est que l’innovation trouve son marché et puisse être déployée de manière industrielle.

LES CRITERES DE SELECTION
Après inscription par le porteur du projet, 3 critères sont pris en compte :
  • l’esprit d’entrepreneuriat
  • un thème appliqué aux technologies de la mobilité comme efficience énergétique, dépollution, intelligence artificielle, data management, électrification, hybridation, *sources énergétiques alternatives (H2, biocarburant), nouveaux usages et modes de mobilité, véhicule autonome, usine 4.0, …
  • le potentiel du projet et son marché

DES ITINÉRAIRES D’ACCOMPAGNEMENT FLEXIBLES
Incubation ou accélération ? Temps court ou temps long ? Les itinéraires d’accompagnement et les services mis en places sont adaptés au niveau de maturité de chaque projet.

UN PARCOURS EN QUATRE ÉTAPES
  1. LE STARTER PROGRAM (3 semaines à 2 mois) pour réfléchir au modèle économique de son projet et la stratégie de long terme tout en bénéficiant d’une aide méthodologique et technique poussée.
  2. INCUBATOR PROGRAM (6 à 18 mois) pour concrétiser le projet et atteindre le TRL 6.
  3. DÉMO DAYS (1 journée tous les 6 mois) : rendez-vous pour faire se rencontrer startups et grands groupes. Organisés sous forme de session de pitchs et d’échanges, ils sont l’occasion de tisser des liens avec les partenaires industriels et de présenter la solution.
  4. l’issue d’un Démo Day, le partenaire peut faire appel à la startup et ROUTE 26 pour développer un POC sur demande.
  5. SCALE-UP (timing selon la startup) : montée en puissance de la startup.

« Nous recherchons les belles idées qui amélioreront les performances des motorisations actuelles et futures pour tout type de transport. Mais aussi des solutions connexes (intelligence artificielle, big data, usine 4.0 ) qui accélèreront et augmenteront les innovations du secteur. Pour cela, ROUTE 26 accompagne les startups depuis la formulation de leur concept technologique (TRL 2) jusqu’à sa maturité suffisante (TRL 6) pour que la solution réponde aux besoins des grands groupes, explique Sébastien Potteau, Directeur du projet ROUTE 26.

Source : http://www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - Sécurité intégrée : ZF présente ses stratégies d'activation d'airbag pré-collision

Friedrichshafen / Alfdorf / Mannheim. La mobilité de demain fait apparaître de nouveaux défis en relation avec la sécurité des occupants. Les solutions élaborées combinent des systèmes de sécurité active et passive servant, par exemple, à déclencher des airbags juste avant une collision. La protection des passagers dans les véhicules autonomes dotés de nouvelles configurations de sièges est un autre domaine dans lequel les systèmes de retenue évoluent. Dans le même temps, des systèmes de sécurité passive plus traditionnels, aidant à optimiser le poids, l’encombrement et l'efficacité de la protection, sont élaborés. Au Congrès Airbag 2018 à Mannheim, en Allemagne, qui a eu lieu du 26 au 28 novembre, ZF a présenté l'état de développement actuel de son airbag extérieur de pré-collision, ainsi que d’autres nouvelles solutions de sécurité des occupants.

« La sécurité des occupants joue un rôle primordial lors du développement de nouveaux véhicules destinés à la conduite automatisée et autonome », explique Dr Michael Büchsner, Directeur de la division Systèmes de Sécurité Passive chez ZF. « Notre concept d'airbag extérieur latéral de pré-collision illustre bien la volonté de ZF de concrétiser sa Vision Zéro, à savoir un monde sans accident et sans émission polluante. »

Conçu pour être déployé à l'extérieur et sur le flanc du véhicule, cet airbag constitue une zone de déformation additionnelle qui absorbe une grande partie de l’énergie de l’impact en cas d'accident. Les tests effectués ont montré qu'il contribuait à réduire jusqu’à 40 % la gravité des blessures des occupants. ZF a présenté l'état de développement actuel de ce système extérieur de pré-collision au Congrès Airbag 2018, en expliquant notamment la stratégie d'activation du système, ainsi que les exigences requises des tests d'impact contre poteau.

Bien protégé, même dans de nouvelles positions assises
En plus de l'interconnexion toujours plus importante des systèmes de sécurité passive et active, la sécurité des occupants doit également être adaptée aux nouvelles positions assises. Un véhicule en mode de conduite hautement automatisé permettrait idéalement au conducteur de se détendre ou de travailler. À l'avenir, il sera possible d'incliner fortement le siège ou de le tourner dans diverses directions. Les systèmes de retenue, tels que les ceintures de sécurité et les airbags, doivent protéger les occupants dans ces nouvelles positions et certains de ces systèmes vont être de plus en plus intégrés dans le siège. Dans le cadre de cette diversité de positions, ZF a développé les airbags adaptatifs dits à « double contour ». Ces airbags sont conçus pour s'adapter à la position de l'occupant et au nouveau degré de liberté dans l'habitacle que permet la conduite automatisée.

Airbag central
ZF a développé un airbag central très élaboré destiné à la protection des occupants se trouvant du côté opposé d’un choc latéral, afin de contribuer à la réduction des risques de collision entre les occupants ou avec les différents composants à l’intérieur du véhicule. Cet airbag se déploie au centre du véhicule et a été conçu pour répondre également aux futurs tests réglementaires : « Les nouvelles exigences du programme Euro NCAP, qui entreront en vigueur en 2020, prévoient de nouvelles mesures de sécurité pour les occupants positionnés à l’opposé du côté du véhicule entrant en collision », explique Norbert Kagerer, Directeur de Développement pour la division Systèmes de Sécurité Passive de ZF. « L'airbag central, destiné à la protection des occupants en cas de collision latérale, pourrait, à l’avenir, devenir indispensable pour obtenir la note de 5 étoiles. »

Plus léger et flexible
ZF tient aussi compte d'autres grandes tendances de l’industrie automobile, avec le développement de l'airbag de genoux le plus léger de cette industrie : « Le poids réduit du module permet des économies de carburant et une réduction des émissions », déclare Norbert Kagerer. « Sa petite taille et sa flexibilité facilitent aussi le respect des nouvelles exigences en matière d'habitacle des futurs véhicules électriques et autonomes. » Logé dans un conteneur en tissu, le nouvel airbag de ZF est jusqu'à 30 % plus léger que les airbags de genoux traditionnels utilisant un conteneur en métal. La production en série démarrera en 2019.

Le volant du futur
Aujourd'hui, l'airbag conducteur est placé dans le volant, et les deux éléments sont partie intégrante du système de sécurité des occupants. Dans un avenir assez proche, les véhicules partiellement ou hautement automatisés seront pourvus d'un volant présentant de nouvelles caractéristiques en termes de configuration. Outre la forme circulaire classique, on trouvera sur le marché des modèles plats et, dans une certaine mesure, des formes ouvertes. Combinés à de nouveaux mécanismes de pliage, ces versions de volant permettront plus de liberté de mouvement aux occupants. Des affichages intégrés augmenteront l'interaction avec les occupants et permettront un plus haut degré de commande à partir du volant des systèmes à l’intérieur du véhicule.

Source : http://www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - L’électronique automobile en pleine mutation

Le congrès CESA 5.0 organisé par la SIA (Société des Ingénieurs de l’Automobile) a été notamment l’occasion de faire le point sur l’évolution technologique de l’électronique face aux nouveaux enjeux de l’industrie automobile.

Rémi Cornubert, de la société d’études Advancy, a annoncé que de nombreux challenges attendent l’architecture électronique à l’horizon 2025 dans 4 domaines récents ou à venir :

  • Un des challenges majeurs est le développement des véhicules autonomes, qui doit inévitablement introduire de l’intelligence artificielle dans les programmes. La consommation électrique, la sécurité et l’homologation des fonctions sont également des défis forts.
  • L’introduction de la connectivité haut débit pose le problème crucial de la protection contre les cyberattaques. La mise à jour des programmes à distance et la communication entre véhicules et avec les infrastructures sont à développer. De nouvelles interfaces telles que les commande vocale et gestuelle sont à intégrer.
  • L’électrification impose une électronique de forte puissance où masse et encombrement doivent être réduits. Son coût, ainsi que celui de la batterie, devront être abaissés.
  • La mobilité partagée demande une grande intégration de multiples dispositifs et doit être sans faille.

De nouveaux systèmes sont également attendus : écrans remplaçant les rétroviseurs, recharge sans fils des véhicules électriques, lidar-scanner sans pièces mobiles (solid-state), cartographie haute définition, réseau 48 V, etc.

Depuis quelques années, les architectures électriques/électroniques (E/E) sont constituées d’un réseau multiplexé en Bus CAN reliant 60 à 80 calculateurs. Les plus récentes font appel à un réseau centralisé (backbone) en communication Ethernet pour une plus grande rapidité et transitant leurs données à 80 ou 100 calculateurs via 2 lignes FlexRay et 6 Bus CAN. La programmation d’un véhicule routier atteint actuellement 100 millions lignes de codes, soit 15 fois plus que celle d’un Boeing 787, et les faisceaux nécessitent plusieurs centaines de connecteurs.

Rémi Cornubert indique que l’architecture E/E va évoluer considérablement afin de répondre aux nouveaux enjeux : « Une meilleure intégration est nécessaire. Le réseau centralisé Ethernet ne reliera plus que 4 ou 5 calculateurs hautes performances, via un Bus CAN pour chaque zone, et environ 60 actionneurs ou capteurs eux-mêmes dotés de leur calculateur. » Ce développement est estimé pour 2020, donc très prochainement.

Il donne également quelques orientations d’une prochaine évolution : « L’architecture E/E devra pouvoir communiquer avec l’extérieur en toute sécurité grâce à des passerelles centralisées (gateway), elle devra pouvoir intégrer un système de « cloud » plus un service en ligne et son réseau matriciel CAN sera remplacé par une architecture à service orienté (SOA – Services Oriented Architecture). »

Selon la stratégie de chaque constructeur, plusieurs domaines tels que les ADAS, le confort/habitacle, la propulsion ou la connectivité pourront être combinés. Il est aussi possible qu’un véhicule n’embarque plus que 2 calculateurs hautes performances.

Source : http://www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - Castrol veut changer la procédure de vidange d’huile pour une meilleure recyclabilité

Le remplacement de l’huile moteur suit la même opération depuis quasiment les débuts de l’automobile : l’huile usagée est vidée par gravitation à travers un bouchon de vidange. Castrol, filiale du groupe BP, a développé un système simplifié du remplacement de l’huile via le programme NEXCEL.

Ce dispositif se présente sous la forme d’un conteneur amovible hermétique comprenant l’huile (jusqu’à 10 l), le filtre et un raccordement déverrouillable avec le moteur. Il peut être installé facilement à n’importe quel endroit du compartiment moteur sur un réceptacle et une pompe à huile électrique assure le transvasement avec le carter moteur. La contenance de ce dernier est réduite à un volume de sécurité, la plus grande part du lubrifiant restant stockée dans le module amovible.

Le propriétaire du véhicule peut ainsi faire lui-même le remplacement de l’huile en 90 s seulement. Il doit pour cela acheter le conteneur amovible correspondant à la bonne huile, déclipser celui en place pour mettre le nouveau, et ramener le conteneur d’huile usagée à une organisation qui reste à mettre en place. Une unité électronique, en communication par Bus avec le véhicule, vérifie que le nouveau module contient l’huile correspondant aux spécifications du moteur.

Le responsable NEXCEL met en avant l’intérêt de cette solution pour atteindre un taux de récupération de l’huile usagée de 100 % alors qu’il est de 76 % actuellement en Europe et de 64 % dans le monde, ce qui fait 2329 millions de litres non-recyclés.

La faible contenance du carter d’huile donne aussi l’avantage d’une réduction du temps de montée en température du moteur si la pompe ne circule pas l’huile tant qu’elle est froide, avec à la clé des diminutions d’émissions de CO2 estimées à 2 g/km (frottements moindres) et gaz nocifs sur procédure WLTP. Il serait aussi possible d’abaisser la hauteur du moteur, mais cela suppose des modifications profondes d’implantation du GMP.

NEXCEL indique que 5 % seulement de la quantité d’huile moteur n’est pas remplacée lors d’un changement de module. La distribution de ce produit est prévue par le réseau Castrol, mais le concept doit préalablement obtenir un partenariat avec les constructeurs.

Le système Nexcel a été exposé dans un véhicule lors de la présentation de la feuille de route d’Advanced Propulsion Centre UK (APC). Cette plateforme réunit le gouvernement et les industries du Royaume-Uni afin de soutenir 36 grands projets de R&D visant une économie de plus de 34 millions de tonnes de dioxyde de carbone et créant 20’500 emplois.

Source : http://www.auto-innovations.com

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{$PUBLISHER} - Baromètre Européen de la Conduite Responsable : Objets connectés, incivilités, somnolence au volant

À l'approche des grands départs d'été, la Fondation VINCI Autoroutes et Ipsos livrent les résultats de la 5e édition du Baromètre européen de la conduite responsable. Évaluation de leur propre conduite, rapport aux outils connectés, prévention du risque de somnolence ou encore influence de leurs passagers, cette vaste enquête réalisée auprès de 11 038 personnes dans 11 pays de l'Union européenne dresse un état des lieux des comportements des Européens au volant pour contribuer à mieux orienter les messages de prévention dans chaque pays.

Les objets connectés omniprésents dans la conduite des Européens
L'inattention est considérée par les Européens comme l'une des principales causes d'accidents mortels sur les routes (54 %) avec la conduite sous l'emprise d'alcool ou de stupéfiants (56 %). Il s'agit même de la principale cause d'accidents mortels citée aux Pays-Bas (72 %), en Italie (69 %), en Grande-Bretagne et en Grèce (57 %). Cette conscience du risque est telle que 84 % d'entre eux se disent prêts à ne plus jamais téléphoner au volant (avec ou sans kit mains libres) pour faire baisser le nombre de personnes tuées. Pourtant, ils sont toujours très nombreux à utiliser des objets connectés au volant, avec des pratiques qui varient d'un pays à l'autre :
  • 45 % téléphonent avec un système de conversation Bluetooth (jusqu'à 53 % en Grèce contre 38 % en Grande-Bretagne) ;
  • 41 % paramètrent leur GPS tout en conduisant (jusqu'à 51 % en Allemagne et en Pologne contre 29 % en Espagne) ;
  • 30 % téléphonent sans kit mains libres (jusqu'à 51 % en Grèce contre 12 % en Grande-Bretagne) ;
  • 30 % téléphonent avec une oreillette, un casque ou des écouteurs (jusqu'à 52 % en Grèce contre 12 % en France) ;
  • 24 % écrivent et/ou lisent des SMS ou des mails (jusqu'à 33 % en Italie contre 13 % en Grande-Bretagne). Cette pratique dangereuse touche même 38 % des Européens de moins de 35 ans ;
  • 16 % signalent aux autres conducteurs des événements via une application (27 % en Pologne contre 7 % en Grande-Bretagne).
Il n'est donc pas étonnant que 7 % des Européens (jusqu'à 13 % en Italie contre 4 % en Grande-Bretagne et en Slovaquie) reconnaissent avoir déjà eu – ou failli avoir – un accident en raison de l'utilisation d'un téléphone portable en voiture.

Comportements dangereux et incivilités sur les routes d'Europe
Une majorité de conducteurs européens reconnaît s'affranchir de certaines règles élémentaires du code de la route :
  • 89 % admettent dépasser les limitations de vitesse indiquées (jusqu'à 93 % en Suède et en Allemagne) ;
  • 63 % ne pas respecter les distances de sécurité (jusqu'à 78 % en Suède) ;
  • 56 % oublient de mettre leur clignotant pour doubler ou changer de direction (jusqu'à 63 % en France) ;
  • 55 % circulent sur autoroute sur la voie du milieu alors que la voie de droite est libre (jusqu'à 78 % en Grèce) ;
  • 55 % oublient de ralentir à proximité d'une zone de travaux (jusqu'à 67 % en Belgique) en dépit du risque que cela peut entraîner pour le personnel qui y intervient ;
  • 21 % reconnaissent qu'il leur arrive de conduire en oubliant d'attacher leur ceinture (jusqu'à 49 % en Grèce) ;
  • 11 % circulent sur la bande d'arrêt d'urgence de l'autoroute, pourtant réservée exclusivement à l'arrêt d'urgence et au passage des secours (jusqu'à 27 % en Grèce).
1 conducteur européen sur 10 admet qu'il lui arrive de prendre le volant en étant au-dessus de la limite d'alcool autorisée et 4 % alors même qu'ils ressentent les effets de l'alcool (jusqu'à 28 % en Grèce et 23 % en Belgique où la limite est fixée à 0,5 g/L). Une indulgence qui a des conséquences directes graves puisque 7 % des conducteurs européens reconnaissent avoir eu – ou failli avoir – un accident en raison d'une consommation excessive d'alcool (et jusqu'à 9 % en Grèce et 8 % en Belgique).

Par ailleurs, tandis que 81 % des conducteurs européens déclarent qu'ils ont déjà eu peur du comportement agressif d'un autre conducteur (jusqu'à 87 % des Français, Espagnols et Grecs), toutes les incivilités sur lesquels les Européens ont été interrogés progressent sans exception, avec certaines spécificités selon les pays :

  • 56 % (+2 points par rapport à 2017) reconnaissent qu'il leur arriver d'injurier les autres conducteurs (71 % des Grecs contre 28 % des Suédois) ;
  • 50 % (+4) avouent klaxonner de façon intempestive les conducteurs qui les énervent (66 % des Espagnols contre 31 % des Suédois) ;
  • 34 % (+3) se permettent de doubler à droite sur l'autoroute (46 % des Néerlandais contre 17 % des Slovaques) ;
  • 32 % (+1) reconnaissent coller délibérément le véhicule des conducteurs qui les énervent (52 % des Grecs contre 23 % des Slovaques) ;
  • 17 % (+2) n'hésitent pas à descendre de leur véhicule pour s'expliquer avec un autre conducteur (29 % des Polonais contre 8 % des Britanniques).
Les conducteurs qui sont considérés comme les plus courtois au volant sont les Suédois, suivis des Slovaques et des Britanniques. Les Grecs passent pour les plus irrévérencieux pour leurs voisins, juste devant les Espagnols, les Italiens et les Français.

« Le danger vient toujours des autres »
Bien que les Européens avouent adopter des comportements à risque, l'autosatisfaction prévaut et ils jugent très positivement leur attitude au volant. 97 % citent au moins un adjectif positif pour se décrire et se disent vigilants (74 %), calmes (57 %) et courtois (26 %). A contrario, ils sont très peu nombreux à s'estimer stressés (11 %), et pour ainsi dire jamais agressifs (3 %), irresponsables (1 %) ou dangereux (1 %).

Pourtant, quand ils jugent le comportement des autres, les conducteurs européens se montrent nettement moins indulgents puisque 83 % d'entre eux citent au moins un adjectif négatif pour qualifier leur conduite : 47 % les jugent irresponsables, 34 % stressés, 31 % agressifs et 30 % dangereux.

Somnolence au volant : le manque de sommeil s'amplifie à l'occasion des départs en vacances
28% des conducteurs européens déclarent dormir 6h ou moins en semaine, soit 1 heure de moins que les recommandations des médecins spécialistes du sommeil. À cette dette de sommeil chronique s'ajoute, pendant les périodes de grands départs, un manque de sommeil conjoncturel : 80 % des conducteurs Européens se couchent plus tard ou se lèvent plus tôt que d'habitude (et presqu'à 9 conducteur polonais sur 10), 76 % finissent leurs préparatifs tard dans la soirée avant le départ (88 % des Grecs) et 67 % partent de nuit (8 Polonais sur 10).

À cela s'ajoutent des temps de conduite trop longs qui continuent de s'allonger avec une pause en moyenne après 3h16 de conduite, 2 minutes de plus qu'en 2017 et 10 de plus qu'en 2016 (jusqu'à 4h16 pour les Polonais mais 2h48 pour la France). Seulement 26 % des Européens respectent la recommandation d'une pause toutes les 2 h.

D'ailleurs, les incidents liés à la somnolence au volant sont plutôt en augmentation : les Européens sont 26 % (+1 pt) à avoir déjà eu l'impression de s'être assoupis durant quelques secondes au volant (jusqu'à 33 % en France contre 16 % en Grande-Bretagne) et 16 % (+2) à avoir déjà empiété sur la bande d'arrêt d'urgence ou sur le bas-côté à cause d'un moment d'inattention ou d'assoupissement (jusqu'à 26 % en France contre 9 % en Grèce et aux Pays-Bas).

Des évènements loins d'être anecdotiques puisque 9 % des Européens ont eu ou failli avoir un accident en raison d'un épisode de somnolence (jusqu'à 13 % en Grèce), soit davantage que les accidents ou presque accidents causés par l'utilisation du téléphone au volant ou une consommation excessive d'alcool (7 %).

Pourtant 36 % des Européens identifient la somnolence comme l'une des principales causes d'accidents mortels sur autoroutes. Pour les Français qui semblent particulièrement sensibilisés à ce risque, la somnolence reste, à juste titre, la cause d'accidents mortels sur autoroute la plus citée (52 %).

Les bonnes pratiques pour lutter contre le risque de somnolence au volant sont d'ailleurs adoptées par de nombreux Européens mais ne sont malheureusement pas encore des réflexes pour tous et sont même en léger recul. Ainsi :

  • 83 % (-1) des Européens programment leurs horaires de départ en fonction des heures où ils sont le moins fatigués (jusqu'à 94 % des Grecs mais seulement 62 % des Néerlandais) ;
  • 75 % (-2) décalent le moment de leur départ quand ils sont trop fatigués (jusqu'à 87 % des Polonais mais 45 % des Néerlandais) ;
  • 72 % (-1) changent de conducteur au cours du trajet (jusqu'à 79 % des Suédois mais 59% des Britanniques) ;
  • 58 % (-2) font une sieste lors des pauses, l'exemple étant donné par les Belges (83%) alors que seulement 4 Grecs sur 10 adoptent cette pratique, solution la plus efficace pour éviter de s'endormir au volant.

lors même que 17 heures de veille active équivalent à 0,5 g d'alcool dans le sang, la fatigue au volant ne semble pas encore susciter chez les Européens le même réflexe de protection à l'égard d'autrui que l'alcool puisque 38 % des Européens n'insistent pas pour retenir un conducteur trop fatigué (contre 16 % dans le cas d'une personne alcoolisée).

Les passagers peuvent jouer un rôle déterminant dans l'amélioration des comportements
Près d'1 conducteur européen sur 2 ne pense pas aujourd'hui que la présence de passagers puisse influencer leur conduite : 49 % déclarent ne faire ni plus ni moins attention, qu'ils conduisent seuls ou accompagnés.

Pourtant, le passager est à la fois un témoin des comportements du conducteur et une vigie protectrice prête à intervenir pour lui-même, pour le conducteur et pour les éventuels autres passagers en appelant à plus de responsabilité. Un interventionnisme particulièrement marqué en Grèce et peu présent aux Pays-Bas :

  • 82 % des Européens ont déjà été amenés à demander à leur conducteur de ralentir parce qu'il dépassait la vitesse autorisée (jusqu'à 94 % en Grèce mais seulement 68 % aux Pays-Bas) ;
  • 74 % l'ont déjà incité à faire une pause après 2 h de conduite s'il ne l'a pas fait de lui-même (jusqu'à 90 % en Grèce contre 60 % aux Pays-Bas) ;
  • 69 % lui ont déjà dit de ne pas répondre à un appel ou SMS (80 % des Grecs contre 53 % des Néerlandais) ;
  • 62 % lui ont déjà demandé de ne pas se garer sur une place réservée aux personnes à mobilité réduite même s'il n'y en a aucune autre de disponible (77 % des Grecs contre 36 % des Néerlandais).

Mais le passager peut également avoir une influence négative, en incitant le conducteur à adopter des comportements à risque :

  • 35 % ont déjà refusé de s'arrêter ou de prolonger une pause pour ne pas perdre de temps (jusqu'à 57 % des Grecs contre 25 % des Néerlandais) ;
  • 32 % ont déjà incité le conducteur à se garer en double file quelques minutes (jusqu'à 56 % des Grecs contre 20 % des Slovaques) ;
  • 32 % à accélérer pour arriver plus rapidement à destination (51 % des Grecs contre 20 % des Français) ;
  • 18 % à répondre lui-même à un appel (32 % des Grecs contre 10 % des Français et des Britanniques).

Source : https://www.ipsos.com

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{$PUBLISHER} - Le conducteur n'avait pas les mains sur le volant de sa Tesla

Malgré les alertes du logiciel d'aide à la conduite Autopilot, le conducteur tué en mars 2018 à bord d'une Tesla, n'avait pas les mains sur le volant au moment de l'accident.

Au fil des semaines, les circonstances de l'accident de la Tesla, survenu le 23 mars à Mountain View (Californie), se précisent. Selon le régulateur américain des transports, NTBS, le conducteur tué en mars 2018 à bord d'une Tesla n'avait pas les mains sur le volant au moment de l'accident, malgré les alertes du logiciel d'aide à la conduite Autopilot.

La voiture avait alors cogné contre une glissière de sécurité puis deux autres voitures provoquant la mort de son conducteur.

Autopilot était bien enclenché depuis près de 19 minutes au moment de l'accident.

Des avertissements ignorés
Pendant ce laps ce temps, la Tesla a envoyé deux alertes visuelles et une alerte sonore indiquant au conducteur de mettre ses mains sur le volant. Ces avertissements avaient été envoyés plus de 15 minutes avant la collision.

«Les mains du conducteur ont été détectées sur le volant pendant 34 secondes, en trois fois, durant les 60 secondes précédent l'accident mais pas pendant les six dernières secondes», précise l'enquête.

Trois secondes avant l'impact, la vitesse de la Tesla est passée progressivement de 100 km/h (62 mph) à 114 km/h (70,8 mph) et aucun signe de freinage ou de mouvement du volant n'a été détecté.

On peut se poser la question, pourquoi, lorsque le conducteur ne réagit pas aux injonctions, le véhicule ne se met-t-il pas automatiquement en sécurité sur le bord de la chaussée?

Batterie en feu
Le régulateur souligne qu'il a fallu 200 gallons (757 litres) d'eau et de neige carbonique pour éteindre la batterie de la voiture électrique, qui avait pris feu sous l'impact et qu'elle s'est de nouveau embrasée cinq jours après, exigeant une nouvelle intervention des pompiers.

Cet accident avait suscité des échanges particulièrement vifs entre Elon Musk et le NTSB, qui avaient abouti à ce que Tesla décide de ne plus participer à l'enquête.

Le NTSB a aussi ouvert une enquête sur un autre accident impliquant une Tesla qui a fait deux morts en Floride (sud-est) il y a quelques semaines. Mais elle porte sur l'embrasement de la batterie du véhicule et non sur Autopilot, que Tesla présente comme un logiciel d'aide à la conduite et non de conduite autonome.
Selon Tesla, Autopilot rappelle en permanence qu'il est de la responsabilité du conducteur de laisser ses mains sur le volant et de garder le contrôle du véhicule à tout moment.

Source : http://pro.largus.fr

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